Ce n'est pas vrai ! Tu t'ennuies au point de tuer le temps à ces broutilles ! Comment a-t-on le temps de s'ennuier ? J'avoue que ça me dépasse moi qui voudrais des journées de 72 heures… N'as-tu donc aucun sujet d'intérêt, à défaut de travail ?
- Je comprends que par moment on se donne le temps avant d'agir, qu'on ne se précipite pas, qu'on réfléchisse…
- Le temps c'est de l'argent. Le gaspiller ne te rapporte rien.
- Jouer le temps, faire de l'anti jeu, c'est encore pire.
- Et à quoi sert de regretter le bon vieux temps, celui qu'on dit toujours avoir été meilleur ?
- On dit que le temps perdu ne se rattrape jamais, moi je te dirai que le temps passé ne reviendra pas.
- Je comprendrais un peu ton désœuvrement s'il faisait un temps à ne pas mettre un chien dehors
- Pas plus que son maître d’ailleurs : Un temps à ne pas mettre un chien dehors.
- Quel déluge ! “Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille”. Quel temps de chien ! Et dire qu’il va falloir sortir Memphis. La pauvre. Même si nous lui mettons son petit manteau imperméable (ce qu’elle n’aime pas beaucoup, d’ailleurs), elle va être trempée. Quant à nous, même à l’abri sous un parapluie... Il y a des choses plus agréables à faire...
- Ne fais pas ton chien fou : la fofolle.
- Ni tes yeux de chien battu : ne prends pas cet air triste et abattu. On va croire que je t’ai frappée alors que je t’ai juste fait une toute petite remarque.
- Parle moins fort et moins agressivement : tu aboies comme un roquet