Un Jean-Pierre Bakri comme à son habitude, dépressif et blasé. Bon, c’est vrai, il joue bien, mais l’a-t-on déjà vu faire le clown celui là ? C’est pas très novateur comme film, une classique comédie dramatique à la française.
avec un Jimmy Fox complètement rentré dans l’univers particulier de Tarantino, avec plein de pétard et de fausse hémoglobine par litre entier, le dernier Tarantino dans la forme d’un western à la fois hilarant que décapant. Ça change des films français. Je n’ai rien contre le cinéma français, la preuve je ne cesse de le suivre, contrairement à beaucoup de mes amis qui zappent directement dès qu’ils aperçoivent que le texte colle avec le mouvement des lèvres des acteurs. Ils ne cherchent pas à comprendre.
Petite comédie sur l’univers du cinéma français. Un réalisateur français, juif, n’ayant pas réalisé depuis plus de dix ans, se lance dans un dernier film, dernier puisqu’il semble qu’il va bientôt mourir. Le processus lancé est très vite agrippé par des problèmes de financements. Du centre national de la cinématographie (le fameux CNC), jusqu’à aux producteurs habituels, rien ne semble en faveur d’un éventuel aboutissement. Sympathique comme film, mais surement pas la comédie de l’année.
Bon, comme je l’ai déjà dit, le cinéma français a toujours l’air d’un bon homme fauché par rapport au cinéma américain, cela s’illustre bien dans ce film. Un scénario pauvre, un casting moyen et un sujet d’actualité certes, mais traité avec un manque d’originalité manifeste. Si vous n’êtes pas vraiment amateur de cinéma français, passez votre chemin, ce n’est pas avec ce film que vous changerez d’avis. Je ne comprends même pas tout le battage médiatique qui a entouré la sortie de ce film.
Médecin américaine venue d’Irak où elle officiait en première ligne, une jeune charmante chirurgienne revient Californie avec un passé « chargé » et classé secret. Un film de série B, avec autant de panache que des commentaires d’un match de curling en plein désert. Le synopsis est beaucoup plus intéressant que le film lui-même. Vraiment nul.
Case départ de et avec Thomas Ngijol et Fabrice Eboué.
Deux noirs parisiens se retrouvent au temps de la traite négrière, et vivent ce qu’ont connu leurs ancêtres. Une comédie légère, ni hilarante ni ennuyeuse, et qui mérite sa part d’attention. L’équipe est jeune, en plein apprentissage. Le jeu est parfois pauvre et surfait, mais globalement l’efficacité est atteinte.
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