J’ai commencé il y a plusieurs semaines à rencontrer de nouveau les parlementaires – sénateurs et députés – sur la question de la fin de vie.
Demain, mercredi, j’ai de nouveau invité une douzaine de députés à venir débattre avec nous - l’ADMD - de la question de la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.
Comme je l’ai encore dit à Londres, le 21 mai, au Congres de Dignity in Dying, il devient urgent que la France se dote d’une loi qui mette les volontés du mourant au centre des décisions qui le concernent.