Bienvenue dans cette nouvelle mouture du classement des meilleures ventes de jeux vidéo. Fini le classement français non chiffré, cette fois c'est à l'ensemble des trois pôles majeurs de l'industrie vidéoludique que nous nous attaquons avec les chiffres du Japon, terre sacrée de notre passe temps favori ; Les USA, où Microsoft règne sans partage ; et enfin nous terminerons par l'Europe, la cinquième roue du carrosse. Des chiffres transmis par VGChartz que nous mettrons à jour régulièrement dans de beaux tableaux tout neufs.
Et comme annoncé nous allons débuter par le TOP10 nippon quelque peu chamboulé par l'arrivée de Summon Night 5 sur PSP. Le RPG de Bandai Namco réalise même une belle performance avec 102.793 jeux écoulés dès sa première semaine, reléguant au passage Tomodachi Collection : Shin Seikatsu en seconde position de ce classement. Derrière, l'ensemble des autres titres se portent plutôt tranquille. Le quartier d'Akihabara est en pleine période de disette entre la Golden Week passée et les prochaines annonces de l'Electronic Entertainment Expo.
Place maintenant à l'Amérique et son gigantisme. Un classement que nous découvrons pour la première fois sur Livegen et que nous apprendrons à bien connaître. Metro Last Light y réalise de jolis scores que cela soit sur PlayStation 3 ou sur Xbox360. On apprend au passage que Call of Duty : Black Ops II s'est vendu à 6.867.280 exemplaires sur PS3, que Halo 4 a dépassé les 5 millions et que NBA 2K13 approche les 2 millions de copies vendues sur Xbox360. Pas de doute, on est bien chez l'oncle Sam.
Et comme pour suivre le rythme cruel des dates de sorties, on finira par l'Europe. Alors bien sûr les chiffres de ventes ne sont pas les mêmes, mais quand il s'agit d'acheter du FIFA, du Call of Duty ou le dernier Assassion's Creed, il faut dire que la dernière roue du carrosse n'est pas en reste. Ce qui n'empêchera pas Pokémon Mystery Dungeon : Gates to Infinity de se positionner en tête des ventes à une petite longueur de Metro : Last Light. On pourra constater au passage la longévité des licences phares d'Ubisoft, Activision et Electronic Arts en Europe, une performance qui, quoi qu'on en dise, force le respect.