Je me sens triste. La plus part du temps, j'arrive à très bien gérer les échecs mois après mois. Ce mois-ci, c'est un peu plus difficile même si je ne sais pas avec certitude encore.
Je me sens seule. J'ai l'impression qu'on ma invité vendredi au BBQ que par politesse. Je hais ce sentiment.
Je suis malade, ça me gruge mon énergie et mon nez est irrité et ça m’irrite moi. Mes yeux me pique et sont injectés de sang. J'ai l'air d'une droguée qui renifle !
Le stress m'empêche de dormir. Et je refuse encore et toujours l'aide...
J'ai maigris. Je ne sais pas comment j'ai fait ça. Ce n'était même pas voulu. J'avais un doute à cause de mes jeans, mais la balance l'a confirmée. J'essaye de faire attention pour ne pas aller trop bas.
Mon poids, c'est la seule chose que je contrôle chez-moi. La seule chose qui me rend, peut-être, fière. Je m'entraîne, je veux des résultats. Je n'abandonnerai pas.
Copain réussi sa vie de sa passion. Il a des contrats. Il est tellement heureux. J'aimerais que sa mère puisse être fière de lui comme je suis fière moi de lui.
J'ai envie parfois de m'enfuir. Recommencer ailleurs. Je voudrais tout effacer. On remet l'ardoise noir. Parfois je trouves cela très pesant.
Je connais la sensation de liberté absolu qu'on ressent quand on meurt. Une merveilleuse sensation. Inexplicable. Un rêve que je ne pourrai jamais oublié. Un rêve doux/amer.
Mon rendez-vous de mercredi passé m'a pratiquement donné le goût d'aller raconter ma vie pathétique à un professionnel.
J'ai les ongles jaunes ce matin car je me suis fait un masque au Curcuma contre les points noires hier.
Une émission hier m'a fait réfléchir.
Je vais sortir ce soir et aller me gorger de toutes la lumières que je pourrai.
Le soleil c'est la vie !