Il aura fallu 8 ans d’attente (2005 et la sortie de Human After All) avant la sortie d’un nouvel opus studio du célèbre duo robotique français (oui, la BO de Tron n’est pas considéré comme un album studio… au cas où il y ait des réclamations!)
Random Access Memories (c’est son nom!) nous fait entrer dans un univers électro-funk. D’ailleurs dès les premières notes de l’album, nous voici transposé dans les années 80. Oui! Et c’est agréable. Ce virage musical est appréciable. Après tout, les Daft Punk avaient bien revisité le disco à leur sauce… De Give Life Back to Music à Contact (13 titres en tout), les pistes s’enchaînent, se laissent écouter (et pour ma part, elles m’apaisent même, voui, vous m’avez bien lu!!!). L’un des points positifs de cet album est dans les collaborations avec des artistes aussi divers et variés que Giorgio Moroder, Pharell Williams, Julian Casablancas…Divers univers se percutant pour nous offrir des titres tel que Giorgio by Moroder, mêlant une interview de l’artiste à ses propres sonorités électroniques bien particulières, nous ramenant directement à la BO de Midnight Express (par exemple). Ou alors Instant Crush, avec la voix du leader des Strokes, Julian Casablancas, envoûtante, sur une musique donnant envie d’avoir un amour de vacances (oui, c’est le sentiment, l’envie que l’écoute de ce titre m’a procuré!). Je pourrais reparler de Get Lucky mais je pense qu’on a à peu près tout dit sur cette chanson! Enfin pour résumer, cet album est à écouter impérativement, en oubliant surtout pas que les Daft Punk aiment les expériences acoustiques et que Random Access Memories en est une! Alors n’hésitez pas, achetez l’album! Vite! Vite! VITE!
Pour en venir au double LP, la pochette au recto nous propose le duo ou plutôt leurs casques respectifs avec dans le coin gauche le titre de l’album, le tout sur fond noir… que l’on retrouve pour le verso et une simple liste des pistes.
© nonopool
A l’intérieur de la pochette (s’ouvrant en volets), un synthétiseur transparent (avec deux claviers) qui est à l’envers! (est-ce une erreur dans la fabrication?). D’ailleurs si quelqu’un en connait la signification, je suis à la quête d’une réponse!
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Nous trouvons donc, dans chaque volets de la pochette, deux vinyles, simple, classique, avec la pastille "Columbia" rouge avec les écritures en jaune et noir (okay, j’en attendais un peu plus, j’avoue!). Mais également un livret avec les paroles des chansons et les credits, ainsi qu’une petite feuille de la taille d’une carte bancaire avec le code pour télécharger la version digitale de l’album.
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Et pour clore cet article, la surprise venue du Japon car, oui, eux ont le droit à un bonus track que voici (les salopiots!!!)