Photo: de gche à dte: Hashim Thaci, B. Kouchner, lt gl M. Jackson, bg gl Agim Ceku, gl Wesley Clark
"Le Canard Enchaîné affirme dans son édition du 22 mai 2013, que deux enquêtes sont actuellement en cours au sein des armées, qui visent essentiellement ceux qui voient d’un œil favorable le mouvement de la “Manif pour tous”. “Troublé par le nombre d’enfants d’officiers parmi les jeunes interpellés”, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, “a demandé à la DCRI de s’informer sur ce que ces ‘agités’ (sic) manigançaient”, écrit le Canard Enchaîné. L’autre enquête a été confiée à la DPSD (Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense) afin de “repérer les meneurs au sein de l’Institution” militaire. "L’activisme des militaires antigays a été jugé assez sérieux pour que le gouvernement ordonne deux enquêtes", affirme le journal satirique. L’objectif serait de surveiller les militaires ayant des liens avec l’Institut Civitas, une organisation catholique proche de l’extrême-droite et qui se veut aussi être un mouvement politique (4 officiers généraux en 2e section siègent à son conseil d’administration) ou encore avec le Bloc Identitaire." source/journal du siècle
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"Réflexion désabusée du président socialiste du Sénat, Jean Pierre Bel, lors de différents déjeuners et dîners privés: "On maitrise jusqu'à l'été. Après, je ne sais pas. A la rentrée, ce sera le début du grand bazar. Ayrault démissionera et après, personne ne sait ce qu'il va se passer." Faits et Documents 15/05-15/06/13
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"Vincent Feltesse. Véritable dhimmi tout en assurant être "profondément laïc", le député socialiste de Gironde, est sans doute le premier élu au Palais Bourbon à verser, au titre de la réserve parlementaire, 50.000 euros pour la construction de la grande mosquée de Bordeaux. Le reste de sa réserve va au planning familial (avortement) et au consistoire juif." Ibid
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"Jean-françois Copé a acquis un grand appartement dans le meilleur XVème arrondissement de Paris, rue du Ranelagh, ce qui lui permet de dîner plus aisément, chaque dimanche soir, avec son meilleur ami, le banquier d'affaires de Rotschild Grégoire Chertok, qui habite Villa Montmorency." Ibid
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"Alors que la production d'opium avait été totalement éradiquée par les Talibans, l'Afghanistan, aprés 10 années d'occupation américaine, produit aujourdhui 90% de l'opium mondial. Selon le nouveau rapport des nations unies, les cultures s'étalent sur plus de 155.000 hactares. Selon le responsable de la lutte antidrogue russe, Viktor Ivanov, ces cultures ont entrainé la mort de plus d'un million d'héroinomanes en dix ans." Ibid
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"Dans les affaires de trafics d'organes dans les Balkans, les premières condamnations viennent de tomber. Cinq hommes, cinq médecins, ont été condamnés par un tribunal de l'Eulex (mais pas un tribunal Kosovar), à des peines d'un an avec sursis à huit ans ferme (plusieurs mandats internationaux ont été délivrés contre plusieurs membres en fuite dont le cerveau, le médecin israélien, Mosche Harel. Un haut responsable du ministère kosovar de la santé, Ilir Rrecaj, a été inexplicablement acquitté) pour leur implication dans un réseau de traffici d'organes humains dont la plaque tournante était une clinique de la banlieue de Pristina (Kosovo), la clinique Médicus. Les receveurs d'organes étaient, pour la plupart, de trés fortunés israéliens qui versaient entre 80.000 et 100.000 euros pour des foies, des reins, etc. L'affaire n'est pas terminée puisque s'y trouvent impliqués plusieurs responsables de l'ALK, l'Armée de Libération du Kosovo (musulman), qui sont accusés depuis plus de 10 ans, par des anciens combattants serbes, d'avoir prélevés des organes sur des prisonniers orthodoxes vivants. Le procureur américain Clint Williamson, assisté d'une équipe d'enquèteurs américains et européens doit rendre un rapport sur cette affaire connexe en 2014, lancée à l'origine par le rapporteur pour les droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Dick Marty (rapport accablant de 2010, qui mettait directement en cause, Hashim Thaçi, ancien chef de la guerilla et actuel premier ministre du Kosovo)." Ibid.
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"Le témoin de la Serbie dans un trafic présumé d'organes durant le conflit au Kosovo, dont est accusée la guérilla kosovare, a livré un récit terrifiant du prélèvement du coeur d'un prisonnier qui n'était pas sous anesthésie, dans une interview diffusée par la télévision serbe RTS. "On m'a donné un scalpel. J'ai mis ma main gauche sur sa poitrine et commencé à couper (...). Le sang a giclé", déclare cet homme, dont le visage était flouté et dont la voix modifiée était à peine audible. "Dès que j'ai commencé à couper il a commencé à hurler, nous exhortant de ne pas le massacrer, de ne pas le tuer et puis il a perdu connaissance. Je ne sais pas s'il s'était évanoui ou s'il était mort puisque je n'étais plus moi-même", ajoute l'homme qui semblait s'exprimer en albanais et dont les propos étaient sous-titrés en serbe. Il précise que l'opération s'est déroulée dans la salle de classe d'une école, et que la victime âgée d'une vingtaine d'années était immobilisée sur trois bancs posés en guise de table d'opération par quatre maquisards.
A la RTS, le témoin ne précise pas la nationalité de la victime, mais selon M. Vukcevic il s'agissait d'un Serbe. Vêtu d'un polo noir à manches longues, le témoin poursuit la description de l'opération, à laquelle participaient également deux médecins, dont un l'avait quelque temps auparavant formé avec d'autres maquisards au prélèvement d'organes. "On m'avait dit de faire une autre incision horizontale en bas (...). La troisième incision, il fallait la faire en haut, mais c'est le médecin qui l'a faite car il voyait que ma main tremblait et que j'étais affolé". Selon le récit, une dispute intervient entre les deux médecins car l'un avait oublié "des ciseaux pour couper les côtes". L'homme raconte qu'il a alors proposé d'utiliser sa baïonnette en guise de sécateur et avoir, guidé par un médecin, coupé les côtes de la victime. A ce moment, un des médecins "a mis ses deux mains dans le corps, a tiré et a ouvert" la cage thoracique. Le témoin décrit en détail comment "nous avons sectionné les artères, et lorsque j'ai pris le coeur, il battait encore". Le coeur a été mis dans un coffre pour le transport d'organes qui a été ensuite acheminé en voiture à l'aéroport de Tirana. Là, les maquisards ont été accueillis par des militaires de l'armée albanaise. Le coffre avec le coeur a été remis à un "étranger" qui est ensuite monté à bord d'un "petit avion privé" frappé du drapeau de la Turquie, selon la même source. Les allégations du trafic d'organes au Kosovo remontent à 2008. Elles ont ensuite été reprises dans un rapport du parlementaire suisse Dick Marty, adopté en janvier 2011 par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Le rapport évoque les noms d'anciens dirigeants de la guérilla kosovare, dont celui d'Hashim Thaçi, l'actuel Premier ministre du Kosovo. M. Thaçi et les autorités albanaises ont démenti ces accusations. Selon le "rapport Marty", le trafic d'organes du temps de la guerre pourrait être lié à une autre affaire récente de trafic international d'organes dans une clinique de Pristina, qui fait l'objet d'un procès dans la capitale du Kosovo."