L’addiction à la cigarette est un fléau terrible et représente une difficulté considérable pour celle ou celui qui souhaite s’en défaire.
Plus on avance en âge et donc plus on a consommé et plus le défi à relever est grand.
Au chapitre des moyens qui permettent de rendre ce passage moins désagréable figure la cigarette électronique. Étrange engin qui produit de la fausse fumée et qui permet à celui qui l’utilise de satisfaire son besoin de sentir quelque chose entre ses lèvres et de « tirer » en quelque sorte sur quelque chose qui lui rappelle la cigarette.
Il a d’ailleurs fallu inventer un nouveau mot pour l’utilisateur de cigarette électronique: il s’agit du vapoteur lequel vapote au lieu de fumer. Actuellement aucune étude n’a montré qu’un produit néfaste serait contenu dans le ménage utilisé pour créer l’illusion chez le vapoteur.
La cigarette électronique, on le voit ici,est utilisable dans pratiquement tous les lieux publics et ne nuit pas à l’entourage. Elle ne présente pas de risque d’incendie et ne constitue pas un objet ou une suite d’objets encombrants à transporter. La cigarette électronique reproduit assez fidèlement le comportement du fumeur et tente de plus en plus de reproduire également le goût et les sensations de ce dernier. Depuis son lancement, le produit a évolué et de nombreuses marques occupent le marché. Le prix des recharges n’est pas très élevé, si on le compare à celui des cigarettes classiques.
La cigarette électronique elle-même affiche un coût qui varie, mais qui est en moyenne inférieur à 100 euros. A relever que de nombreux chercheurs envisager l’utilisation de la cigarette électronique jetable comme un substitut utile dans la lutte contre le tabagisme. Certains pays s’y opposent, souvent cependant sous l’impulsion des puissants lobbies du tabac.
On peut cependant voir ici que les produits utilisés pour produire la fameuse vapeur ne semblent en effet pas nocifs.