Lors du mois dernier Disney a décidé de fermer le studio mythique, celui LucasArts. La fin de LucasArt marque la fin d’une époque. Le studio LucasArts a eu des hauts et de bas, mais on se rappel des grands succès : la série des X-Wing, les jeux d’aventures Indiana Jones. On compte également les deux premiers Monkey Island, Full Throttle, Grim Fandango, Day of the Tentacle, Zak McKraken, Loom, The Dig. Disney a également mis fin à des projets prometteurs comme Star Wars 1313 et de Star Wars : First Assault.
La compagnie, Disney, parlait d’externaliser le développement des prochains jeux Star Wars. En effet, l’entreprise vient de signer l’exclusivité avec Electronic Arts. Nous savons tous que Disney a racheté Lucasfilm en octobre dernier ainsi que la franchise pour 4,05 milliards de dollars. Ainsi, il est responsable des jeux en ligne et mobile.
EA avait lancé en 2011 The Old Republic, un jeu de rôle en ligne massivement multijoueur développé par le studio canadien BioWare. Malheureusement, l’expérience n’a pas été répondue aux attentes. Le jeu a eu de la difficulté sur le marché du à l’indétrônable World of Warcraft ce au point qu’il on du offrir le jeu sans abonnement en novembre dernier.
En parallèle, la compagnie Blizzard vient d’acquérir la compagnie ING Pro League qui était malheureusement mal en point dernièrement. Le développeur et éditeur a affirmé qu’il n’y aurait plus de concurrence entre IPL. Il annonce que tous les employés garderont leur emploi comparativement à Disney qui a mis la hache dans la compagnie. En effet, ils ont mis à la porte près de 150 employés de LucasArts. C’est à l’inverse de Disney qui a acquis une grande marque sans garder les experts ayant travaillé à sa croissance pour produire les jeux.
C’est une triste nouvelle, mais le studio de renom gardera les grands titres resteront dans le panthéon des jeux! L’impartition informatique de Star Wars et l’annonce de la fermeture des deux jeux AAA qui étaient en développement, il faudra s’attendre à une offre vers les jeux mobiles et les jeux sans abonnements.
Par Ariane Mongeon