Laurent Louis est né le 29 février 1980 à Nivelles en Belgique. A 18 ans, il entre en politique en s'inscrivant au Parti Réformateur Libéral (PRL) et y reste jusqu'en 2010. Il rejoint le Parti Populaire (PP) en Février. Après des querelles au sein du parti, il décide en 2011 de créer son propre parti politique : le Mouvement pour la Liberté et la Démocratie (MLD. En 2013, il dissout son parti et depuis, siège en tant qu'élu libre et indépendant tout en se rapprochant d' Etienne Chouard.
Un Laurent Louis ulcéré par la complaisance de la justice et de la classe politique à propos de l'affaire Doutroux. Un vote de l'Assemblée pour lever son immunité parlementaire le menace. Il prend la parole au Parlement fédéral belge afin de réclamer la cessation des poursuites qui pèsent sur lui suite à ses révélations dans le dossier Dutroux tout en dénonçant un procès purement politique.
Tous voteront ( à une voix près) les poursuites à l'encontre de ce député.
Finalement, on souhaitera ne connnaître rien d'autre que cet événement qu'est l'inanimé de cette Assemblée (qu'elle soit belge importe peu !) contre les dangers de la vérité et contre Laurent Louis, Don Quichotte de la politique, car, jamais, on n'aura besoin d'en savoir plus sur un gouvernement et sur ceux qui sont censés nous représenter.
"... On ne cesse d'allumer le feu partout dans le monde et après on se demande d'où vient la fumée !"
Laurent LOUIS dénonce les mensonges et la manipulation destinés à effrayer la population en vue de la mise en œuvre d'un programme visant au désordre mondial, désordre déjà mis en œuvre en Egypte, en Tunisie, en Libye, en Irak, au Mali, en Afghanistan et qui se poursuit actuellement en Syrie avant peut-être de toucher l'Algérie ou l'Iran.
Laurent LOUIS au Premier Ministre belge Elio Di Rupo (PS): "Ne venez alors pas me parler de la crise économique. Vous l'avez inventée cette crise pour prendre à la gorge nos travailleurs et imposer des régressions sociales."
On ne manquera pas au passage de noter le "charisme" du Premier Ministre belge...
Qui a bien pu penser un seul instant que de tels hommes puissent dans un premier temps endosser les habits de chef d’Etat, dans un second temps, être capables de trancher en faveur de l’intérêt général - celui des Peuples et des Nations -, avant d’en remontrer qui à la BCE, , au Président de la Commission européenne et à ses commissaires, aux Banques, aux paradis fiscaux, à la corruption, à Wallstreet, à l'ONU, à l’OTAN ?
Qui donc ?
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