A sa montre / To his watch

Par Vertuchou

Maîtresse mortelle, toi qui écris mon berce-cœur,

Compagne, de temps fort en temps faible, vais-je

Avancer, ou toi, l’heure de la relâche, et tout

Un monde beauté, pillé, doit-il s’anéantir ?

Lire l’heure est notre lot ; bribe de temps

Et non durée, encore que conçus pour faillir et mourir-

Un seul appel, à point nommé. C’est là, ah ! juste là

En tout le chant du réconfort ou la pire folie du deuil.

 Champ-perdu, jour écoulé n’apporte pas matin

« C’était ton tour » dit-il à elle, un tour nouveau mais pire,

Le tout dernier, si court… »


Gerard Manley Hopkins

 "Mortal my mate, bearing my rock-a-heart

Warm beat with cold beat company, shall I

Earlier or you fail at our force, and lie

The ruins of, rifled, once a world of art ?

The telling time our task is ; time’s some part,

Not all, but we were framed to fail and die-

One spell and well that one. There, ah thereby

Is comfort’s carol of all or woe’s worst smart.

Field-flown, the departed day no morning brings

Saying « This was yours » with her, but new one, worse,

And then that last and shortest. »