Le tourisme a ses limites, clairement dessinées dans Nouilles froides à Pyongyang. Heureusement, Jean-Luc Coatalem est aussi capable de s’inventer d’autres mondes, comme il l’avait fait dans Le gouverneur d’Antipodia, paru l’an dernier et réédité en poche.
Le tourisme a ses limites, clairement dessinées dans Nouilles froides à Pyongyang. Heureusement, Jean-Luc Coatalem est aussi capable de s’inventer d’autres mondes, comme il l’avait fait dans Le gouverneur d’Antipodia, paru l’an dernier et réédité en poche.