Pour une fois je prends la plume le jour du coup de gueule. Et je m’adresse à cette consoeur rencontrée lors d’un déjeuner de presse qui affirmait que les candidats de ces émissions (qu’elle ne regardait d’ailleurs jamais) n’avaient aucun avenir dans la restauration. Elle avait même ajouté qu’aucun n’avait réussi à ouvrir un restaurant.
Je voulais juste lui donner quelques bonnes adresses parisiennes.
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Brice Morvent, candidat Top Chef 2010, bien en place derrière son Comptoir
Article ici.
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Romain Tischenko, (vainqueur Top Chef 2010) dont le talent n’est plus à prouver au Galopin.
Article ici.
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Pierre-Sang Boyer (finaliste Top Chef 2011), qui réjouit chaque jour les gourmands de la rue d’Oberkampf.
Article ici.
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Cyril Rouquet (demi-finaliste Masterchef 2010), qui régale ses clients d’une cuisine franche, inspirée de son enfance et de ses voyages, au Louvre-Bouteille.
Articles ici et là.
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Benjamin Darnaud, (candidat Top Chef 2010), aux fourneaux du so hype Wanderlust.
Article ici.
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Sans oublier Jean Imbert à l’Acajou, Paul-Arthur Berlan (demi-finaliste Top Chef 2011) au Métropolitain et Stéphanie Le Quellec, (gagnante Top Chef 2011) chef éxécutif du restaurant du grand hôtel le Prince de Galles dont l’inauguration était avant-hier (j’y vais la semaine prochaine je le chroniquerai ici).
Vous n’avez que l’embarras du choix chère consoeur !