La décision qui peut- être va bouleverser les cartes politiques est inattendue. Plusieurs scénarios seraient envisageables d’après les analystes : chercher une nouvelle coalition , organiser des élections anticipés , pousser le chef du gouvernement Benkirane à faire des concessions ou même plus, on envisagerait qu'il démissionnerait.
Les opinions se divergent certains parlent de crise politique d'autres s'en félicitent à considérer ce qui se passe actuellement comme est une forme de démocratie et que le climat politique est sain. D'autres vont trop loin; les critiques de Hamid Chabat et la mésentente entre lui et Benkirane dans différents dossiers soit économique ou social ont poussé certains à dire qu'au Maroc il y'a un conflit entre l'Islam et la laïcité.
Dans ce zèle politique, les débats aux réseaux sociaux se multiplient; on voit que tout le monde est concerné par cette décision aussi bien le citoyen que les dirigeants du PJD et aussi les autres partis politiques de la coalition et de la position.
Devant cela, il faut attendre le retour du souverain de Paris pour sortir de cette impasse; le recours à l'arbitrage royal que l'article 42 de la constitution évoque est donc attendu par tout le monde.
Finalement, la lampe de Benkirane résistera -t-elle au vent fort que la balance de Chabat ne cesse de secouer depuis son arrivée?