1er et 8 mai, Ascension, Pentecôte…. Le mois de mai 2013 est particulièrement propice aux ponts, longs week-ends, et semaines de travail raccourcies. L’INSEE annonce même un effet négatif sur la croissance : 0.1% du PIB en 2013, soit un chiffre 10 fois plus élevé que les années précédentes ! Malgré cela, le travail doit quand même être accompli… Comment s’organiser pour conserver sa productivité au bureau et tenir les délais ?
Dresser un planning des vraies priorités
Cela paraît évident de prime abord, mais au bureau, nous sommes en permanence sollicités pour répondre à des demandes de nos collègues, de notre patron ou de clients. Au final, ces requêtes incessantes, et non urgentes la plupart du temps, sont dévoreuses de temps et finissent par nous faire oublier les priorités… Un planning bien en vue sera votre meilleur allié dans ce cas !
La règle des 2 minutes
Efficace et simple à mettre en œuvre, cette technique issue des formations en organisation peut changer le déroulement de votre journée, et vous faire gagner un temps considérable. En pratique, lorsque vous avez fixé la tâche du jour à accomplir, vous ne traiterez les demandes du moment que si ces dernières ne demandent pas plus de 2 minutes pour être traitées ! Pour les autres, notez-les dans un carnet pour y revenir plus tard.
Tenir compte de ses inclinations personnelles
Certains sont plus efficaces sur les dossiers complexes le matin alors que d’autres préfèrent s’y pencher dans l’après-midi. En repérant vos « heures creuses » et vos moments de procrastination, vous gagnerez en productivité et calerez les travaux importants au moment où votre énergie est à son top !
Faire des pauses !
Les études scientifiques montrent que, dès 50 minutes de concentration intense, l’efficacité du salarié diminue. Faire un break de quelques minutes toutes les heures vous aidera à améliorer votre productivité sans perdre de temps.
Oser dire non
Refusez toutes les demandes qui n’entrent pas dans votre champ de compétences ou vos priorités du moment. S’il s’avère souvent difficile de refuser une demande de son patron ou de ses collègues, pour des raisons bien souvent psychologiques, le refus s’avère pourtant salvateur pour votre organisation de travail. Si, toutefois, vous ne vous sentez pas en capacité de refuser catégoriquement, une solution consiste à utiliser la formule du « non pour l’instant, mais oui plus tard »…