L’anthroposophie au service de l’humanité…

Publié le 14 mai 2013 par Philippejandrok

J’ai eu grâce à ce blog un échange très intéressant avec un lecteur qui rejoint un courant de pensée dont nous faisons partie sans savoir que nous appartenons au même mouvement, celui des hommes de bonne volonté.

Je souhaiterais, dans cette note vous faire part de mes découvertes dans le domaine de la réflexion anthroposophique, dont le plus important représentant au XX siècle est Rudolf Steiner. 

http://youtu.be/LJcpDjTjlus

L’anthroposophie n’est pas une science, loin de la, et Rudolf Steiner lui-même s’insurgerait contre cette classification scientifique qui satisfait les serviteurs d’Ahriman, qui rendent « l’homme aride, prosaïque, philistin… et qui entraine les hommes aux superstitions matérialistes » et pour que « son incarnation remporte un succès maximum, Ahriman à le plus intérêt à ce que les hommes se perfectionnent dans la science ».

La science, qui est le rempart derrière lequel se cachent les esprits mal attentionnés pour justifier leurs mauvaises actions et surtout, empêcher le développement des idées nouvelles remettant en question la science elle-même qui repose sur une branche branlante.

L’un des exemples les plus frappants concerne aujourd’hui la médecine allopathique, science de toutes les vérités concernant le corps humain avec une pharmacopée adaptée, or les scandales sanitaires, les vaccinations inutiles aux conséquences désastreuses pour les patients, les médicaments, tel que le Médiator, les génériques sous dosés, les excipients à base de lactose, néfastes pour les allergiques et les intolérants de plus en plus nombreux… comme si le lait était nécessairement bon pour la santé, certainement, mais pas pour tout le monde ce qui prouve une grande diversité dans l’espèce humaine qui n’est malheureusement pas plus égale entre elle que prise en compte par la Science qui s’efforce de ne pas voir les vérités communes à tous, mais pas nécessairement scientifiques.

J’ai publié un article dernièrement sur le Virus du Sida avec la révélation d’un médecin, scientifique et chercheur qui assurait que le Virus du Sida n’était pas un Virus comme on l’a cru depuis 20 ans et c’est ce qui explique également comment il ne peut être soigné avec cette même science qui n’a pas été capable de l’identifier, mais la principale faute en revient à une seule et unique chose, la puissance Ahrimanienne qui transforme la fausse vérité en secteur économique. Oui, « l’homo économicus » se nourrit de la science et de ses vérités incomplètes pour créer une vision unilatérale de la vérité.

Si je prends en photo un décor de cinéma, je photographie ce que l’on considère comme la réalité, pourtant, c’est une réalité incomplète, car si je photographie ce même décors de l’autre côté, de sa partie intérieure, opposée au réel, je ne verrais que des échafaudages et des planches, rien à voir avec la réalité précédente, la science fonctionne ainsi, en ne donnant qu’une face, qu’un visage de la vérité, le visage qui l’arrange mais qui n’est pas celui de la vérité, puisque les variables ne sont pas analysées.

J’en veux pour exemple le médicament que le médecin donne à son patient et qui est destiné à le guérir d’une pathologie, pourtant, son patient ignore que dans le Vidal, le dictionnaire des médicaments uniquement à la disposition des médecins, celui-ci indique souvent entre 3 et 8 pages de papier bible d’effets indésirables pour le patient. S’il fait partie de cette propension à réagir contre la molécule prescrite, le voilà fait.

Normalement, cette Science si parfaite ne devrait-elle pas produire une molécule parfaitement adaptée à son patient ? Non, il est accordé d’office que chacun peut supporter telle ou telle molécule, pourtant on s’accorde à penser que chaque être humain est unique, puisque ses empreintes digitales sont uniques, peut-être ses empreintes ne sont-elles pas les seules à être uniques, son ADN également.

Donc, nous nous trouvons en face d’une science peu fiable qui s’impose à un demi milliard d’évolution moléculaire dans le domaine des plantes sur cette planète, cette évolution qui se rend compatible pour la plupart des êtres humains.

Mais d’où nous vient ce gout pour la vérité scientifique ?

Il nous vient du Christianisme avec la négation des miracles en dehors des miracles divins, et la volonté de St Thomas de ne croire que ce qu’il voit et qui va fouiller de son doigt inquisiteur la plaie du Christ pour vérifier qu’elle est bien réelle. Ce gout va se développer dans le matérialisme de cette religion et son gout pour l’argent, car n’oublions pas que toutes les conquêtes qui ont été menées par la suite, l’ont été avec le secours divin, avec sa volonté sacrée reconnue par Constantinople, puis Rome.

En admettant que la vérité scientifique de St Thomas soit réelle, elle ne prouve en rien la résurrection du Christ, il aurait pu tout simplement ne jamais mourir. Pourtant, de récentes études et découvertes indiquent que le Christ a bien été ressuscité par un procédé radioactif de régénérescence des cellules, un procédé encore hors de notre portée avec la perception que nous avons de la science actuelle, comment donc expliquer que la science se rend elle-même incapable de donner une explication alors qu’elle s’impose dans tous les domaines de la vie avec une volonté quasi dictatoriale ?

Car, comme le précise Rudolf Steiner, l’idée que nous nous faisons de la Science n’est pas nécessairement celle qui régit les lois de l’univers.

Nous avons établi une charte scientifique en croyant qu’elle était, qu’elle est universelle, mais nombre de scientifiques sont aujourd’hui incapables d’expliquer certaines capacités humaines, des fonctionnements naturels ou surnaturels, or ce qui ne s’explique pas, ne s’explique pas nécessairement avec les yeux de la « Science » mais résonnent dans l’esprits de certains qui y voient une autre approche de la science et de la vérité. La profondeur spirituelle permet ainsi aux initiés de se fondre à travers les barrière du temps et de l’espace pour se plonger dans une vérité universelle qui conteste les vérité scientifiques par sa simplicité et son refus des dogmes imposés par la science et la religion.

La science est le refuge de ceux qui cherchent à dominer la majorité, la science est un moyen de contrôle de l’homme et de son environnement, une façon de sélectionner ceux qui sont fidèles défenseurs Ahrimanien et les autres, ceux qui ont choisi le chemin de la spiritualité et de la différence tout en restant modestes et malgré cela, l’homme lui échappe en sachant au fond de lui que la vérité telle qu’on lui la donne est différente.

 On opposera systématiquement la science mathématique de la perception de deux, voire, trois dimensions dans notre monde alors qu’il est fort probable qu’il existe bien plus de dimensions et de perceptions dans l’univers que notre science ou même nos mathématiques ne peuvent les comprendre. Nous devons admettre que la Science elle-même limite notre champ d’exploration scientifique, car ses postulats sont imposés comme des vérités qui ne sont pas forcément justes. Or il faut une ouverture scientifique pour admettre de nouvelles théories, de nouvelles lois. Depuis des siècles on nous apprends des lois mathématiques au même titre que les petits africains répètent bêtement « nos ancêtres les Gaulois… » alors que nous devrions plutôt dire « nos ancêtres les africains… »

C’est pourquoi la spiritualité est prise en dérision, parce qu’elle apporte de nouvelles ouvertures par ses réflexions logiques et proches du vivant. La spiritualité anthroposophique ramène l’homme à la nature et ne s’efforce pas de l’en dissocier, au contraire, il en fait un être universel lié au monde du vivant, à la nature, à l’évolution de notre monde, c’est pourquoi il a sa place dans l’univers, car c’est un enfant, un pur produit des étoiles, comme l’est notre planète.

Or, la science confirme cette volonté, car on sait à présent que chaque être vivant, animal ou végétal sur cette planète, possède un ADN commun, universel que personne ne peut contester, cet Adn est la preuve de notre appartenance à un tout, un ensemble cohérent et qui dépasse l’entendement ou plus simplement l’entendement de la Science qui s’efforce de qualifier, quantifier, catégoriser, isoler, affirmer… Une perte de temps par rapport au simple constat de l’universalité, mais une nécessité pour entretenir la volonté de destruction économique des deux milles dernières années.

 C’est également pourquoi, nombre de suppôts Ahrimaniens constituent des sectes principalement basées sur le contrôle financier, puis sur le contrôle des esprits, or, la spiritualité n’a rien à voir avec le matérialisme, pas plus qu’avec l’argent, mais l’argent est devenu un pouvoir et pour lutter contre le contrôle des lobbys, l’argent est peut-être un des seuls moyens pour se protéger, car la vérité pour la société matérialiste est un ennemi.

Dès que l’on parle de matérialisme, la spiritualité est déjà galvaudée et sert les intérêts néfastes à l’équilibre et au libre arbitre.

Mais, critiquer le matérialisme n’implique pas non plus de sombrer dans les mirages du Marxisme devenu par un contrôle néfaste, le communisme. Chaque pensée qui implique un contrôle de l’esprit et des idées est essentiellement néfaste à la vérité et à l’équilibre de l’être humain.

Nous sommes nombreux à regretter les principes même de partage que nous connaissions par le passé.

J’en veux pour exemple l’aide mutuelle.

Lorsque j’ai eu 16 ans je me suis rendu en Hongrie chez mon Oncle et ma Tante à Budapest. Il était médecin, et travaillait comme tous les médecins dans une dictature communiste, pour l’état, l’après-midi il continuait ses visites pour son compte, mais ses patients étaient souvent pauvres, très pauvres et il ne les faisait jamais payer. En retour, j’assistai un jour à la visite d’un de ses patients pauvres, un paysan humble et respectueux qui pour remercier mon oncle d’avoir soigné son épouse souffrante, était arrivé avec un pot, le plus gros que j’ai jamais vu, un pot de miel en verre qui devait bien faire un mètre de haut et 30cm de diamètre, remplit jusqu’au bouchon de miel couleur d’ambre, c’était à la fois impressionnant et magnifique à voir. Comme ce n’était pas suffisant, le paysan offrit également deux canards qu’il venait de tuer, c’était sa façon à lui de remercier et de rémunérer l’homme qui avait mené sa femme sur le chemin de la guérison.

Aujourd’hui, ces dons ne se produisent plus, car l’état contrôle tout, il faut une justification à tout pour ne pas voler l’état, donc, l’état instaure des lois injustes et considère le fruit du labeur offert, comme un vol, un détournement.

L’état dresse un réseau de fibres indestructibles, une toile d’araignée infranchissable qui vise à contrôler nos faits et gestes avec l’aide de la science et du contrôle des esprits. Or, on ne peut enfermer un esprit, on n’a pas encore trouvé le moyen de le faire, alors les puissances Ahrimaniennes s’efforcent de créer un réseau d’informations constant pour noyer la vérité essentielle de l’humanité, vivre en paix, en famille, le plus longtemps et le mieux possible.

Ces puissances inventent les peurs qu’elles répandent comme un poison mortel, les catastrophes naturelles ou pas, les guerres, la maladie et surtout le terrorisme, tout en considérant que le terrorisme dans le monde fait moins de morts que les accidents de la route et pourtant si je vous dis que vous risquez de mourir à chaque fois que vous prenez votre véhicule, vous le prenez tout de même, mais si je vous dis que des terroristes ont planifié de faire sauter Paris, vous évitez Paris alors que la probabilité que vous soyez victimes d’un attentat est plus infime que celle de perdre la vie dans un accident de voiture.

Or, la société nous fait perdre le sens commun, ce sens dont chacun dispose en ayant fait ou pas des études, ce sens est universel et ne nécessite en aucun cas une instruction particulière.

Prenons l’exemple des Rom de Roumanie qui s’installent en France, malgré la crise, malgré les risques, ils savent qu’en venant en France ils seront pris en charge par le système à un moment ou à un autre, ils savent qu’ils gagneront plus d’argent en France en allocations et en aides, qu’en Roumanie, ils l’affirment clairement. La Roumanie les informe de cette vérité et les pousse à quitter le pays pour se débarrasser d’eux. En France, et bien, nous sommes prisonniers de vieilles lois qui ne sont plus d’actualité, et pour aider des malheureux qui devraient être pris en charge par leur pays, des français doivent souffrir d’avantage en payant plus d’impôts alors qu’ils sont déjà en situation de souffrance économique.

Le sens commun est bien de profiter d’une situation, même si elle provoque un drame social et économique dans chacun des deux camps. C’est une attitude naturelle que l’on pourrait rapprocher de celle du Coucou qui va pondre son œuf dans le nid du voisin, se faisant, le petit coucou plus gros que ses frères de nid va les pousser hors du nid et les plonger dans la mort, et manger la part des autres.

Ce comportement de parasitage est naturel, pourtant l’homme se sert de ces comportements pour diviser les populations, ce faisant, Ahriman détourne l’attention des réalités économiques en motivant l’opinion à se battre pour elle-même et à défendre ses intérêts matérialistes propres, créant des sentiments de haines provoqués par la souffrance quotidienne et le profit évident d’individus capables de vivre dans des conditions sordides pour finalement être intégrés dans une France providentielle qui a perdu depuis longtemps ce rôle.

Et ce ne sont pas les Rom qui sont coupables, mais bien le gouvernement Roumain qui lance sur les routes Européennes une population dont personne ne veut, c’est la Roumanie qui déstabilise l’économie de ces pays où les Roms ont élu domicile en croyant découvrir l’El Dorado, comment comprendre que cette Roumanie si pauvre est si riche en ressources naturelles, où va cet argent qui appartient au peuple roumain et qui disparaît dans les sous sols économiques dont si peu possèdent la clef du tunnel ?

Envoyer les Rom sur les routes, est donc un moyen de dissimuler une vérité économique que personne ne doit savoir. Si la France est riche en terres et en forêts, la Roumanie est riche en mines diverses, or, argent, opale… c’est le premier producteur d’or en Europe, sans compter les importantes ressources forestières et le savoir faire roumain en matière de travail du bois. Le tyran Ceaucescu possédait la plus grande réserve d’or d’Europe en lingots dans son palais avant d’être renversé, ou est passé cet or ? Pourquoi cette Roumanie est-elle si pauvre , alors qu'elle est si riche ?

Les Rom sont bel et bien poussés à agir de la sorte par le sens commun, la logique de survivre, tout comme les Espagnols sont partis à la conquête de l’Amérique pour faire fortune et piller les populations locales avec la bénédiction divine, c’est dans le même registre de logique, ou plus proche de nous, les Américains qui ont attaqué l’Irak pour piller les ressources pétrolières de ce pays qui, sous la volonté de Sadam Hussein voulait les en priver, et toujours avec la bénédiction divine.

Le sens commun au service de l’humanité épouse deux visages, celui de la prise de conscience et celui du profit et de l’enrichissement.

En revanche, nous devons comprendre que le sens commun doit être mis au service du bien et non du mal, il doit permettre à chacun de vivre sans avoir à vivre sur la souffrance d’un autre.

C’est du domaine du possible si nous décidons de mettre un terme par notre passivité à l’action Ahrimanienne, pour permettre à notre planète de vivre sa vie sans être brutalisée, empoisonnée, assassinée à petit feu.

Ceux qui croient en la Science sont persuadés que nous vivons sur un astre inerte, mais celui-ci est vivant, il respire, il vit, il s’exprime au quotidien, il peut dès qu’il le souhaite libérer des forces qui nous submergent et qui détruisent nos cités, il peut prendre le relais des mauvais hommes qui jouent avec les virus pour rentabiliser leur recherches, et libérer un virus tueur qui fera le ménage sur la planète. Le livre de Science Fiction de Pierre Boule, « La Planète des singes », montre comment un virus venu de l’espace va exterminer tous nos mammifères domestiques au point que pour les remplacer nous sommes contraints de prendre des singes…

Ce scénario est probable et pourrait toucher uniquement les humains devenus trop nombreux, trop gênants, trop destructeurs, ce serait même souhaitable pour rétablir l’équilibre de la planète. C’est le sujet de « Résident Evil », un virus, transforme l’humanité en zombie suite à une recherche génétique et virale qui a mal tourné, une recherche Ahrimanienne, à nouveau.

Nous sommes dans une période inspirée par le mal où les mauvaises intentions mettent en péril l’existence même de notre espèce et celle de notre planète.

Or, Ahriman est persuadé que scientifiquement on peut sauver l’espèce humaine qui n’a fait que régresser, aux temps bibliques les hommes vivaient plus de huit cent ans, aujourd’hui, 90 ans est un chiffre canonique, dans notre régression nous avons développé des pensées matérialistes qui ont détruit toute forme d’humanité originelle, nous pensons désormais créer un être humain de toutes pièces en jouant avec la génétique, on fabrique de l'humain comme de la tomate en cajot, mais pense-t-on un seul instant que cette maîtrise créra des humains viables ? Oui, quelques années, on fera de l'humain Monsanto, stérile, déglingué dans sa perfection, on éliminera l'espèce humaine en faisant confiance à la science qui sera dépassée par ses propres mauvaises intuitions.

Dans un autre registre, comment pouvons-nous passer à côté d’un homme qui dort sur un carton en hiver à même le sol alors que nous vivons confortablement dans nos appartements, dans nos maisons ? Mais qui nous dit qu’un jour, cet homme, cette femme sur le trottoir, ce ne sera pas nous ?

Avant de perdre son emploi, l’employé ne croyait à aucun moment qu’il serait victime d’un licenciement, amenant d’autres catastrophes en séries et le faisant sombrer dans la précarité, car il est tenu par les banques avec lesquelles il a fait un crédit pour son appartement, qu’il doit vendre aux enchères au profits des banques qui veulent récupérer leur investissement, c’est pourquoi, si vous croisez un malheureux dans la rue, gardez à l’esprit que cela pourrait être vous, un jour, peut-être.

Je suis conscient qu’un jour, je pourrais devenir ce malheureux, car notre société est ainsi constituée, faite de faux bonheurs et d’illusions passagères, or si nous voulons changer cette réalité, nous devons nous engager dans une lutte contre le matérialisme et créer une société à l’image de l‘homme et non pas à l’image d’Ahriman, le malfaisant matérialiste qui détruit non seulement l’humanité mais qui la rend dépendante d’un système pervers qui le transforme lentement en mouton de Panurge. Les agriculteurs porcins français ont hier décidé de faire la police, et de filtrer les exportations de viande porcine d'origine étrangère ne respectant pas les règles européennes et les mettant sur la paille. Ils ont stoppé les camions et jeté la marchandise. Ils ont décidé de mettre un terme, momentané, à cette volonté de profit, de tricherie manifeste qui ruine leurs exploitations pour satisfaire des centrales qui ne pensent qu'en terme de bénéfice économique au détriment même de l'économie.

Il faut armer le bras de la conscience pour qu’il frappe du poing sur la table avec force en affirmant qu’il est contre cette volonté déclarée de détruire tout ce qu’il y a de bon en l’homme et sur cette planète. Chacun a le pouvoir de dire Non, il ne faut pas se ranger du côté de la résignation, ce serait, c’est une erreur dont se servent ceux qui veulent faire de nous ces moutons à leur service. L’homme est enfin parvenu à gagner sa liberté, ce n’est pas pour que les états et les banques le prennent en otage pour satisfaire leur appétit de profit, d’enrichissement et de contrôle.

Nous vivrons une époque formidable, le jour ou l’humanité triomphera de ses passions pour appartenir à l’universalité de la vie, mais jusque là, nous vivons une époque formidiable…