Jurassic Park 3D.
(réalisé par Steven Spielberg)
Et Steven recréa les dinosaures.
Encore une conversion 3D. La première chose à laquelle on pense. Pourtant, Jurassic Parkau cinéma c'est génial.
Ne pas réveiller le chat qui dort. C'est ce que le milliardaire Hammond aurait dû se rappeler avant de se lancer dans le «clonage» de dinosaures. C'est à partir d'une goutte de sang absorbée par un moustique fossilisé que John Hammond et son équipe ont réussi à faire naître une dizaine de dinosaures. Il s'apprête maintenant avec la complicité du docteur Alan Grant, paléontologue de renom, et de son amie Elie à ouvrir le plus grand parc à thème du monde. Mais c'était compter sans la cupidité et la malveillance de l'informaticien Dennis Nedry.
Pour les jeunes en mon genre (il y a 20 ans, j'en avais 5), qui n'ont pas eu la chance de découvrir Jurassic Park au cinéma, l'opportunité offerte par cette ressortie ciné est une aubaine. J'étais comme un gosse sur mon siège. J'ai du le voir une vingtaine de fois mais c'est comme si je le découvrais, à chaque apparition du célèbre T-Rex, je sursautais comme une petite fille (oui, ça sursaute une petite fille).
Il faut dire aussi que le film n'a pas pris une ride, c'est épatant de voir à quel point les dinosaures sont criants de vérité. Certes, les super ordinateurs windows 3 ne semblent plus vraiment à la pointe de la technologie mais c'est le seul coup de vieux qu'a pris le long-métrage.
Il est toujours parfait. D'une efficacité rare, chaque péripétie reste gravée en mémoire (l'attrait des grands films) comme le serait une empreinte...de dinosaure. Ah ah ah.
La 3D ne sert pas à grand chose, à mon avis, mais rien que pour le plaisir de voir Jurassic Park au cinéma...
Note: