Après un gros Game 1 (44 points), l'adresse a semblé fuir Stephen Curry, qui combine un petit 12/37 aux tirs lors des deux matchs suivants. Danny Green, chargé de le tenir par séquences pour soulager Tony Parker, a quant à lui bien rempli sa mission, et les Spurs ont récupéré l'avantage du terrain.
C'est un gros défi, a-t-il déclaré. On le traite comme un mini-Kevin Durant. Bien sûr, il n'est pas aussi grand ni aussi dangereux quand il attaque le cercle, mais il peut finir, en floaters, et plein d'autres trucs, en déclenchant très rapidement son tir. C'est un scoreur - un vrai scoreur.
Green explique également sa façon de défendre sur le Franchise player des Warriors :
C'est l'un des meilleurs scoreurs de la ligue actellement. Et être capable de défendre dur sur lui - on m'a dit de le tenir et de relever ce défi - représente beaucoup pour moi. Je défends de la façon dont on me dit de défendre. Vous savez, ça n'est pas compliqué, il faut juste rester en permanence auprès de lui. Rester dans son espace aérien et essayer de le mettre mal à l'aise.
A Curry désormais de montrer qu'il est capable malgré cette attention particulière des Spurs de porter son équipe vers une historique Finale de Conférence.