Dijon, ils n’osent s’avouer la vérité. Que l’une a trois bambins qu’elle élève seule et sans emploi,
que l’autre a perdu son poste, sa femme et ses deux petits garçons. Que l’une fait la serveuse,
que l’autre livre des pizzas. En dépit – ou peut-être à cause – du quiproquo, le courant s’installe,
électrique, évident, et avec lui une spirale de mensonges inextricables…
Avis : après Hantise, j’avais besoin d’un truc bien débile pour me détendre, et pour m’en remettre. J’ai donc choisis un livre de la collection Nous Deux, et le titre m’attirait. Je pensais bien m’amuser et surtout beaucoup rire, mais finalement ce ne fut pas le cas. J’ai trouvé l’histoire assez plate, assez facile et surtout les personnages trop lisses. Impossible de s’attacher à eux. Certes, les pauvres, ils n’ont pas de chances, mais tout se règle avec trop de facilité. Je demande pas une réflexion profonde dans ce genre de livre, mais je trouve que c’est mal décrit et l’histoire d’amour n’est pas du tout du genre à nous faire des gluglus dans le cœur.
Bref pas grand chose à dire, une histoire trop lisse, une fin rigolote tant elle est digne d’un conte de fée (et encore dans les contes de fées ça se fini parfois plus mal), et un livre qui n’a pas réussi à me combler. Tant pis.
Phrase post-itée :
"Catherine trempa son index dans le champagne et déposa une goutte du précieux liquide derrière chacune de ses oreilles." Euh… WTF?
Pas de plus, pas de moins. Il n’est pas très intéressant de toute façon.
Ce livre répond au challenge :