Puis, nous voyageons légers dans les pas et les rencontres d’Avital Ronell, vous savez, celle qui écrit depuis « New York New York ».
Un hélicoptère blanc quitte le Vatican, « l’hélico de la dernière chance », écrit Edouard Launet.
Et deux entretiens presque opposés nous plongent, l’un dans les guerres qu’Eric Bouvet photographie, l’autre dans un tourisme très particulier qui passe par la maison de Robert Kaplan.
Eric Bouvet témoigne de son travail, des peurs qu’il doit affronter, du choc qu’il subit quand il revient et qu’il est invité dans des vernissages « au milieu de tout ce monde merveilleux »…
Nathalie Heidsieck fait le portrait de Robert Kaplan qu’elle n’a pas rencontré ; elle en obtient les traits par les récits que font celles et ceux qui disent le connaître et qui sont passés par cette maison napolitaine dont elle s’est occupée plusieurs années : « C’est un jeu : qui veut jouer, joue. Mais c’est un jeu sérieux. » (« Le livre écarlate 222 autobiographies de Robert Kaplan a été imprimé à 2000 exemplaires »).