On se retrouve en ce jour férié pour le billet Madame Figaro de la semaine, spécial bijoux et joaillerie :)
Commençons par les stars!On retrouve tout d'abord le champion du monde de pâtisserie qui met ses dames en émoi, j'ai nommé Christophe Michalak! Il évoque nous les objets qui lui sont chers, comme la lettre de son beau fils Darius qui dit qu'il est "le meilleur beau papa du monde", sa Calibre de Cartier (montre qu'il trouve très élégante) mais aussi la chatte de Darius, Maki, dont il est "dingue".Il est également question de Vanessa Paradis, qui fait son grand retour, avec son nouvel album "Love Songs". Variété, raggae, pop et bossa nova se côtoient dans des chansons évoquant l'amour et notamment son couple briséavec Johnny Depp. Qui n'a tout de même pas manquéde participer àl'écriture de certains titres, tout comme Mathieu Bogaerts ou Adrien Hallo, entre autres.On a également un petit focus sur Anna Kendrick, révélée par Twilight et superbe dans In The Air en 2009 avec Clooney, lui valant d'être nommée aux Oscars du Meilleur Second Rôle. Elle sera prochainement àl'affiche de Hit Girls, "une version cinématographique de Glee". Car en effet, Anna a une jolie voix, qui a été récompensée par un Tony Award quand elle n'avait que 12 ans! Par contre, Madame, je rectifie votre article: non, Anna ne jouait pas le rôle d'un "gentil vampire " dans Twilight mais l'une des amies de classe de Bella, parfaitement humaine.
Plus loin, c'est Audrey Dana qui se livre en interview! Ambassadrice du joaillier Piaget, elle est à l'affiche de Denis, en salles en ce moment, avec Jean Paul Rouve et Fabrice Eboué. Mais celle que l'on a découverte dans Welcome ou Le Bruit des Glaçons a un autre projet: elle a décidé d'écrire et de réaliser une "comédie de filles pour les filles", "Homo Sapiennes", illustrant la mutation de la position des femmes aujourd'hui, dans laquelle nous pouvons toutes nous reconnaître. Et avec un casting de choix: Leïla Bekhti, Julie Ferrier, Isabelle Adjani, Marina Hands..ont toutes acceptéde se lancer dans l'aventure, et apparemment dans des rôles dans lesquels on n'a pas l'habitude de les voir:-) Hâte de voir ca :-)Et d'ailleurs, juste derrière, Isabelle Adjani se confie. Dans le cadre de la promotion d'un reportage à son sujet ("Isabelle Adjani, 2 ou 3 choses que l'on ne sait pas d'elle") qui évoque son parcours, elle parle de l'envie de jouer qjui l'a toujours dévorée, dés son adolescence et son premier film, Ondine. Elle nous parle également de son père, qui l'a élevée dans la négation du corps, et de la beauté, dans une extrême pudeur, chose qui l'a déstabilisée et a créé des "dommages". Elle est également révoltée par la moralisation de la vie politique et par l'Etat qui se mêle de la vie des gens et explique qu'elle a finalement refuséde jouer le rôle d'Anne Sinclair dans le film consacré àl'affaire DSK (avec Gérard Depardieu dans le rôle titre) afin de na pas "participer à la curée médiatique". Mais aussi parce est fatiguée de cette "pudibonderie hypocrite" dont la sociétéfait preuve, tout en soumettant des images de "sexe dégueulasse" aux enfants, via les films américains notamment. Dans un petit "quiz", on apprend également qu'elle aime les lumières tamisées et les feux de cheminée toute l'année, qu'elle aimerait vivre àMelbourne mais qu'elle déteste les expressions toutes faites. Au final, le ressenti que je garde d'elle àla lecture de cet article est qu'elle est une femme mélancolique, souvent révoltée et intense.Et enfin, on retrouve Cédric Klapisch et Amanda Seyfried: en effet, le réalisateur et la jeune actrice, nouvelle égérie de la maison pour le parfum Irresistible, ont travaillésur le nouveau spot. Le décor est un troquet de Saint Germain des Prés, très parisien. La jeune Manda pousse la porte gantée, chapeautéeet vêtue de noir pour finalement croiser le regard d'un jeune homme et retirer son chapeau et révéler sa "luxuriante chevelure blonde". Amanda s'est dite ravie de travailler avec M.Klapisch, qui est joyeux et audacieux et Ricardo Tisci (le directeur artistique de Givenchy, qui l'a choisie), dit d'elle qu'elle est "irrésistible", toujours fraîche et juste. De plus, il lui fallait une américaine, afin de rendre hommage àAudrey Hepburn, qui a inspiré et soutenu Hubert de Givenchy, créateur de la marque.
Passons à présent à la mode!Il est tout d'abord question de la collaboration d'Eres et Karl Lagerfeld, qui a réalisé de très jolies photos avec la sensuelle et magnétique James Bond Girl Berénice Marlohe. Qui pour lui, était la femme idéale pour sublimer les tenues graphiques et colorées après soleil de Eres.Plus loin, on retrouve la mannequin punk Charlotte Free, qui nous parle de son style. Et le moins que l'on puise dire, c'est qu'on est loin du look girly: elle n'aime pas les talons et préfère les choses cool et confortables, mais également un peu tomboy pour cultiver son côtéandrogyne et elle ne possède pas de it-bag. Son icone est, sans surprise, Vivienne Westwood et pour elle, la mode ne doit pas être prise au sérieux et l'élégance vient quand on "est bien dans ses baskets" De toute façon, Mademoiselle Free veut faire de la musique et se considère comme sa propre muse, voila. Et toc!
Et la beauté dans tout ca?Comme ce numéro est un spécial "Joaillerie et choses qui brillent", Madame nous donne des astuces pour réaliser un maquillage bijou. Ainsi, on porte un joli rouge rubis, que l'on associe àdes bijoux sobres et de petites pierres dans la couleur du maquillage; on peut également de faire un joli smoky jade qui convient àtoutes, avec du khôl noir. On peut également miser sur des faux cils diamants ou le crayon doré au ras des cils inférieurs et/ou supérieurs. En tout cas, maquillage et bijoux ne doivent entrer en concurrence et si on préfère les gros bijoux, on opte dans ce cas pour une bouche mate :-)
Terminons avec les faits de société :-) Alors que Grazia nous parlait d'Hainan, la capitale du luxe à l'Asiatique, Madame nous parle de Singapour, ville arty: en effet, l'art contemporain fait son arrivée ici avec un Centre for Contemporary Art, et d'autres galeries, qui poussent un peu partout. Comme pour le luxe, il manquait un "poumon artistique " en Asie et Singapour entend être ce haut lieu de l'art. Même si la scène artistique singapourienne est en plein développement, en pleine émergence et pas encore tout à fait définie, d'autant que cette ville-état n'a pas une grande histoire derrière elle. Plus loin, on a l'article "Think Punk", qui revient sur l'histoire de ce courant contestataire et son influence sur la mode et la musique notamment. Le courant punk est né à la fin des Trente Glorieuses, alors que les économies commençaient à s'asphyxier, apportant chômage et misère sur leur passage.
Et enfin, je terminerai ce billet sur une note estivale et paradisiaque : La Villa de Calvi est en fait un sublime hôtel, aux chambres au design épuré et contemporain et surtout avec une vue imprenable sur la ville depuis la piscine, qui "semble suspendue à la falaise". Et en plus de tout cela, l'hôtel possède un amphithéâtre dans lequel sont donnés des concerts privés et on peut y manger de très bons plats, comme une tarte fine aux légumes ou un pavé de denti de palangre à la grecque, dont on a les recettes dans l'article ;)
Jolies photos!
Et voilà! J'espère que ce billet vous aura plu et que vous profitez bien de ces deux jours fériés! Voire de ce week end prolongé de 5 jours pour les chanceuses comme moi ;) Des bisous!