La tension monte chez les harkis. Après douze mois d’agitation et de mouvements divers, la communauté estime qu’elle n’a obtenu aucune réponse concrète de la part de M. Kader Arif à ses revendications, à savoir la Responsabilité et la Représentativité.
Pis, la situation se serait, selon certains éléments les plus actifs, passablement aggravée. Le ministre délégué aux anciens combattants, Kader Arif, avait annoncé, le 18 septembre 2012, une série de mesures concernant les harkis et leurs enfants.
Les harkis existent, ils sont toujours là. De temps à autre, ils le font savoir, histoire de se rappeler au bon souvenir de tous, notamment des politiques. La France ne doit pas avoir honte des harkis, elle doit reconnaître l’abandon en Algérie et le deuxième abandon, en France, où les familles de harkis ont été parquées dans des camps.
Par conséquent, le 12 mai 2013 nous n’excluons pas de manifester à Paris auprès des autres associations !