Je ne ferai pas de résumé de ma dernière journée ou de l'ensemble du congrès Boréal, sinon pour répéter que j'ai passé une très belle et très agréable fin de semaine, et remercier tous les participants et les organisateurs du congrès.
Je termine donc ma couverture du congrès qui vient de se terminer par quelques déclarations des participants, ici et là au fil des activités, que j'ai pris la peine de noter pendant la fin de semaine. (Il y est souvent question d'Élisabeth Vonarburg, puisque plusieurs événements tournaient autour de l'auteur et son oeuvre, puisqu'elle était récipiendaire du prix Hommage Visionnaire cette année pour l'ensemble de sa carrière).
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«Ça ne veut pas dire grand chose, la science-fiction québécoise».
- Joël Champetier (vendredi)
«Élisabeth a traumatisé ma mère, en trempant ses biscuits au chocolat dans son verre de vin».
- Francine Pelletier (dimanche)
«La réécriture, c'est comme si tu as mis un enfant au monde, et là, il faut l'élever».
- Elisabeth Vonarburg
«Donc, c'est comme de changer les couches de l'histoire».
- Daniel Sernine
(vendredi)
«J'ai vu René Walling deux fois, et à chaque fois, quand je me suis approché, il n'existait plus à cet endroit-là».
- Julie Martel (samedi)
«Être créateur, c'est être comme une plante».
- Karoline Georges (samedi)
«La trash mistress, la reine du déchet: Julie Martel!»
- Yves Meynard (samedi)
«La SFFQ a été créée par des français: Norbert Spehner, Jean-Marc Gouanvic, et deux bonnes femmes».
- Elisabeth Vonarburg (vendredi)
«C'est fou le nombre de choses dont je ne me rappelle pas».
- Joël Champetier (vendredi)
«Moi, je ressemble à Zénon le petit cochon».
- Julie Martel (samedi)
«J'ai découvert à quel point je faisais du sous-Vonarburg».
- Francine Pelletier (dimanche)
«Élisabeth, imaginez non pas le roadrunner, mais le Tasmanian Devil qui tourne dans le bureau».
- Jean Pettigrew (dimanche)
«Je n'ai pas de fouet!»
- Élisabeth Vonarburg (dimanche)