Mobilisez-vous sur : nutrir.actioncontrelafaim.org
Parce qu'il est temps que la nutrition ne soit plus regardée comme un bénéfice du développement, mais aussi comme son pré-requis, ACF lance la campagne de mobilisation #Nutrir. Pour demander au gouvernement un engagement plus fort en faveur de la nutrition.
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Moins de 2% de l'aide publique française au développement est consacré à la lutte contre la faim et la malnutrition.
Pourquoi ?
- Parce que la sous-nutrition n’est pas seulement un drame individuel pour ceux qui la subissent ou en meurent.
- Parce qu’elle est aussi un fardeau économique pour les pays qu’elle touche. La sous-nutrition ralentit la croissance des pays en entravant le développement et la réussite scolaire des enfants, en affaiblissant la productivité des hommes, en contribuant à la persistance de la pauvreté, en favorisant l’apparition d’un nombre élevé de maladies qui pèsent lourdement sur le budget des systèmes de santé... Elle réduit de ce fait la rentabilité des investissements réalisés dans d’autres secteurs, tels que l’agriculture ou encore l’éducation. Résultat : La sous-nutrition cause des pertes économiques équivalentes à 2 à 3% du PIB des pays touchés.
À l’heure de la crise économique et des restrictions budgétaires, en France comme dans les pays voisins, il est essentiel de faire en sorte que chaque euro donné par les Français à l’aide au développement des pays étrangers, via leur gouvernement, soit un euro dépensé le plus utilement possible.
Investir dans la lutte contre la faim et la sous-nutrition n’est pas seulement une question de solidarité : c’est aussi une question d’efficacité.