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— « Je m’étais levé tôt pour te recevoir et tu n’es pas venu. Mais cette fois j’irai te prendre à ta porte, ne t’inquiète ni de nourriture ni de couvertures, laisse-moi te guider, je veux ta présence. Et je servirai une table de mets préparés par ma femme, tu n’auras ni à parler ni à répondre mais à être là dans ma maison. Je sais que je n’en suis pas digne, mais je t’en prie, dans mon tunnel, donne-moi cette heure de lumière! »
— Rature et lit font bien littérature.
Félix Leclerc, Le calepin d’un flâneur
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