Un « licenciement » qui n'est pas le fruit du hasard...
Cette annonce du gouvernement Marois, jette un nouvel éclairage sur le "licenciement" de leur porte-parole Laurence Grondin (Lady Luck).
La décision de Loto-Québec sur l'avenir de Laurence Grondin a probablement été scellée dès que le ministre des Finances l'a avisé que son gouvernement avait l'intention de lutter contre l'offre de jeu illégale. Il devenait alors impossible pour Loto-Québec d'avoir au sein de son organisation une porte-parole qui fréquente un établissement illégal de jeu. Je crois aussi, que c'est pour cette raison que, contrairement à leur habitude, les responsables des relations avec les médias chez L.Q. ont soulignée, à gros traits, que le non-renouvellement du contrat de Mme Grondin (qui n'est pas formellement un licenciement) était dû à sa présence dans des salons de poker illégaux. Il leur était possible de non renouveler son contrat sans en publiciser la cause... La pauvre Laurence serait ainsi donc devenue la première victime de la lutte que le gouvernement entend mener au jeu illégal.