C’est une question qui a tout d’abord été abordée en off lors de mon masterclass Luxe & Digital à l’école de communication ECS Paris, dans une discussion passionante avec Anne – helène Decaux, directrice de la communication du réseau social Artviatic. En effet dans un marché de l’ar qui a connu uen expansion météorique à l’image du boom économique asiatique , des voix commencent à se faire entendre pour s’insurger contre une pratique de plus en plus cours: la surenchère spéculative sans paiement des « BIDS ».
En clair, plus de la moitié des bids (offres d’achat) faits sur le marché asiatique, ne sont pas honorés !!! Dans un marché de l’art où la confiance est reine, ceci se doit d’être considéré comme une trahison!
Que penser alors de la cote toujours plus haute de l’artiste philippin (que nous adorons) Ronald Ventura (exposé en ce moment à la galerie Perrotin de hong-kong), dont l’un des tableaux « Grayhound Painting » a été acheté 1.1 million de $ par un collectionneur inconnu chez Sotheby’s, lui faisant dire « When I found out the price I was shocked. I couldn’t believe it. It was 10 times more than the original gallery price”.
La question est simple, peut – on croire dans la cote des artistes asiatiques?