C'est la moyenne des actes de violence perpétrés contre les médecins en France l'année dernière, soit deux fois plus qu'en 2004. Le président du conseil de l'ordre précise :
"Nos derniers chiffres sont en deçà de la réalité : certains médecins, par humanité, ont tendance à avaler sans ciller l'insulte d'un dépressif ou excuser l'agressivité d'un patient compte tenu de son état…"