Bonjour et bonne fête du travail à tous !
Je profite de cette journée pour rattraper mon retard côté « Lettres d’un inconnu ». En effet, j’ai reçu les deux lettres du mois d’avril depuis déjà quelques temps et pourtant je n’avais pas encore trouvé cinq minutes pour les lire !
Maintenant que c’est chose faite, je viens vous en parler !
La première lettre traduit l’expérience vécue par un ancien champion du monde de karaté. Il raconte avec ses propres mots, comment il est parvenu à surmonter ses difficultés physiques et mentales, pour devenir un athlète de haut niveau. En prenant conscience de ses défauts et de son imperfection, il a travaillé dur pour dépasser ses lacunes et se créer ses propres techniques de jeu. Il explique justement comment on doit faire ce que l’on n’aime pas (comme vaincre son vertige) pour arriver à faire ce que l’on aime (devenir champion de karaté par exemple). Malgré une écriture assez difficile à déchiffrer parfois, le message qu’il veut nous faire passer est très clair. Cet homme raconte une belle leçon de vie qui lui a valu le titre du meilleur athlète dans sa catégorie.
La seconde lettre a été retrouvée par hasard dans un grenier. Pour la première fois, l’équipe de Lettres d’un inconnu partage avec nous une correspondance qui ne nous est pas destinée. Car la lettre date de 1944, et s’adresse à une personne bien précise. Bien entendu, les noms ont été retirés, mais pour le reste de la lettre (les ratures, les fautes, les taches d’encre etc.) rien n’a été modifié ou corrigé. L’homme qui l’a écrite souffre de la perte d’un proche à cause de bombardements, et ne demande qu’une seule chose (malgré tous les détours qu’il prend pour s’exprimer), pouvoir reconstruire sa maison qui a été détruite. Il s’adresse à quelqu’un d’important, qui doit avoir un certain pouvoir, si j’ai bien compris son message, et il mentionne d’autres personnes importantes comme le maire du village. Ce témoignage peut paraître anodin aux premiers abords, mais c’est lorsque l’on arrive au P.S, que l’on comprend toute la détresse de cet homme.
Voici encore deux lettres très différentes l’une de l’autre, mais qui demandent chacune de se remettre en question. Ma collection de lettres commence à « grossir » pour mon plus grand plaisir ! Et comme à chaque fois, j’ai hâte de lire la suivante !