La grève de l'emploi pour affamer les banksters ?

Publié le 30 avril 2013 par Idealmag @idealmag2

L'Etat, ça n'est plus le peuple, c'est le banquier !

Les retraites, bourses, R.S.A, chômage, coûtent plus de 56 Milliards d'euros par an. Autant d'argent part dans le remboursement de notre dette chaque année. La dette ne peut qu'exploser par la charge d'intérêt sensée être absorbée par une croissance qui ne reviendra plus. Une France souveraine pourrait s'emprunter à elle-même via la Banque de France sans taux d'intérêt. Mais les candidats politiciens subventionnés par les marchés, pensent plus à leur misérable carrière qu'au peuple. La Grèce, sous l'empire Ottoman, décidait de ne pas payer l'impôt, pour résister au colonisateur. Mais en France il y aurait bien mieux encore : il serait révolutionnaire de cesser le travail et vivre aux crochets de l’État. Car l’État, ça n'est plus le peuple, c'est le banquier !


Même Auteur ou Sujet En observant la situation actuelle telle qu'on nous la vend, la France doit emprunter son propre argent, soit des sommes folles, pour tenir le choc de notre quantité massive de chômeurs.

Pour conséquence, les agences de notation américaines dégradaient la note de la France et les taux d'intérêt grimpaient à un niveau presque apocalyptique. Le gouvernement, après la main mise de la Commission Européenne sur notre budget National, est aux abois.   La France voyant sa dette exploser, n'est en réalité plus en mesure de rémunérer les obligations vendues en notre nom, puisqu'elle n'a pas d'argent !  Ce sont des entités financières qui payent nos retraites et nos allocations chômage. Oui, les banquiers et les rentiers ! Pas nos impôts !   Pour l'instant le système tient encore dans la roue libre de leur dogme, mais les fous furieux qui sont aux manettes seront pressurisés dans peu de temps pour nous imposer une austérité drastique, y compris sur les prestations sociales. Pourquoi ? Mais parce que ce sont eux qui les paient, en réalité !

Envie de voyager ? Les banquiers règlent votre chômage. Très honnètement, ça vaudrait le coup de prendre un peu de bon temps histoire de se refaire une santé, puis prendre le temps de créer une entreprise. Nous aurions du  temps libre pour le faire et serions indemnisés pour cela par les marchés. Quoi de plus simple quand un banquier achète des obligations pour que nous puissions le faire ?   Mme Merkel paniquerait très certainement à l'idée que l'Allemagne soit amarrée à notre pays du point de vue monétaire. Ils tireraient leur révérence immédiatement. Salut l'Europe !
L'U.E, ce monstre qui nous plombe chaque jour serait enfin démantelée. Une libération pour tous les peuples, et évidemment le notre.   Ne vous y trompez pas, cesser d'avoir une activité salariée ne signifie pas cesser le travail. C'est même très crtainement l'occasion  de retrouver du temps libre rémunéré par les marchés, pour réorganiser l'économie, par nos propres idées citoyennes. Ne doutons pas des capacités de notre  fraternité pour faire aboutir des milliers de projets, une fois que nous serons tous déterminés à le faire. Il suffit d'observer l'Islande.   Nous pourrions à loisir consacrer du temps à édifier un autre système. En clair,  un fond d'investissement ou une société d'assurance paye les allocations chômage. Il faut être honnète, beaucoup de chômeurs ont aussi gagné plus de temps pour s'occuper de leur vie privée, faire pousser leurs légumes, faire de la musique, du temps mieux partagé entre le profit de la communauté, et du temps pour vivre.   Sachez qu'un dossier de surrendettement peut permettre de geler vos dettes pour deux ans. Le fait de réduire vos revenus vous permet potentiellement d'échapper à l'impôt, mais vous ouvre aussi d'éventuels droits comme le tarif social de l'E.D.F. Après tout, quand on voit ce qu'ils nous volent, ce qu'ils gaspillent, et la noisette  qu'ils investissent  à la préservation de la nature, autant les laisser payer notre consommation actuelle.   Bien sûr, en terme de gestion d'un budget, rien ne vaut une activité salariale rémunérée. Mais en se débrouillant bien, vivre entièrement aux frais des marchés et affaiblir encore un peu plus le gouvernement et l'euro, pourrait bien faire basculer la balance en notre faveur collective.   De ce point de vue, ne serait-ce pas patriotique de préférer la grève de l'emploi, que continuer à payer des impôts pour subventionner des banksters ?

Cette réflexion et texte m'ont été inspirés par le développement de S. Baron, un fin blogueur...