Le travail rend libre comme disait le poète.
L’Equipe a-t-elle été trop vite en affirmant, dès le surlendemain de la double branlée allemande des matchs allers, que l’Allemagne était peut-être en train de prendre le pouvoir en Europe ? Le doute est permis. Comment imaginer que le Barça ne pourrait pas inverser la tendance, juste parce qu’il ne s’est pas créé une occasion à l’aller ? Et puis Messi sera de retour, et il a marqué un super but à Bilbao durant le week-end. Ca avait permis au Barça d’égaliser. Bien sûr, Xavi était titulaire.
La grippe Bavière
Pendant ce temps-là, Ronaldo s’apprête à éliminer Dortmund, puisque Ozil n’est finalement pas le meilleur allemand sur terre. A une époque où son budget pub n’était pas encore adossé à une association de bienfaisance pour handballeurs, le Vestiaire aurait affirmé que sans Benzema ce ne serait même pas la peine d’espérer. Cette fois, il se contentera juste d’affirmer qu’avec Higuain c’est perdu d’avance et que c’est le jubilé de Benzema. Mais tout le monde a vu le même match aller. A part Josse évidemment.
En fait, la qualification et la mise de départ du Vestiaire sont suspendues à une seule question de politesse. Celle de ne pas mettre deux taules à des Catalans et celle d’assumer d’être meilleur que le Real avec une moitié de Polonais dans ses troupes. Quand ils embrassent la cause nationale, les résultats peuvent se révéler fumants.
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