Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,Tu masques ton visage en lisant ton journal,Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro,Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.Tu voudrais donner des yeux a la justiceImpossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, tu perds ton sang froid.Repense a toutes ces années de service.Antisocial, bientôt les années de sévices,Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus.
Écraserles gens est devenu ton passe-temps.En les éclaboussant, tu deviens gênant.Dans ton désespoir, il reste un peu d'espoirCelui de voir les gens sans fard et moins bâtards.Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings,Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite Relèvela gueule, je suis la, t'es pas seulCeux qui t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,Tu masques ton visage en lisant ton journal,Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro,Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.Tu voudrais donner des yeux a la justiceImpossible de violer cette femme pleine de vices.Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial
Ce pamphlet de TRUST c'est exactement ce qu'on vit maintenant... 35 ans et ce morceau n'a pas perdu une ride.