Gunther Gheeraert nous fait découvrir son Manhattan à travers un film shooté au 5D et incrusté de pensées, comme si l’inconscient du lieu et celui du réalisateur se percutaient pour offrir la facette personnelle de ce centre du monde.
Et le titre, référence plus ou moins direct au Lost In La Mancha, fantasme de catastrophe cinématographique pose un filtre de lecture sur le film.