Henrique Capriles
CARACAS, Venezuela - Il y a des signes qui ne trompent pas. Des actes qui, à chaque minute chaque seconde montre l’amateurisme et la falsification. L’extrémiste Henrique Capriles Radonski change de discours comme de chemises. Il ne sait même plus ce qu’il débecte. Tel un automate, il récite le logos à lui inspiré, par les ennemis du Venezuela, dont lui-même fait partie. Souvenez-vous, il y a une semaine, il réclamait le recompatage. Deux jours après, un audit. Aujourd’hui, toute honte bue, il dit vouloir boycotter la vérification des résultats des élections pour pousser le gouvernement à organiser un nouveau scrutin présidentiel. Rien que ça.
Donc, l’opposition ne participera pas à l’audit parce que le Conseil national électoral n’a pas respecté sa demande d’un examen des registres contenant les signatures et les empreintes digitales des électeurs. Toujours dans la surenchère, cet homme est fou et veut, sur des ordres des Etats-Unis, mettre le Venezuela à feu et à sang. Le petit extrémiste Capriles a déclaré hier, que, l’opposition ira à la Cour suprême pour contester les résultats de l’élection présidentielle 14 Avril.
Ce type est complètement fou. Alors qu’il fait un score honorable à tout hasard, puisqu’aucun sondage ne lui donnait un pareil score, il n’hésite pas à vouloir faire croire que c’est l’inverse qui était valable, puisqu’il revendique sa victoire sans un début de commencement de preuve. La victoire d’une tête de Nicolas Maduro lui fait tellement mal qu’il ne sait plus où donner de la tête alors même que ses parrains américains viennent d’accepter la nomination d’un nouveau diplomate, un consul honoraire, aux Etats-Unis. Les deux pays n’ont plus vraiment de relations diplomatiques avec un manque d’ambassadeur de part et d’autre…