L’organisme bancaire cantonal qui serait censé soutenir l’économie du canton de Vaud avoue bêtement prêter ses liquidités à la BNS, par souci d’éviter les risques.
Ce n’est en tous cas pas ainsi qu’elle accomplira son office de soutien au développement de l’entreprise en pays de Vaud.
Et plus loin dans son communiqué, elle avoue benoitement que « les autres crédits sont restés stables à 5.1 milliards » au premier trimestre 2013. La preuve que ce qui précède est juste, même si elle s’en défend.
La seule chose qui semble l’intéresser est la croissance des commissions sur les produits structurés.
Autrement dit sur les inventions très souvent débiles et dangereuses émanant des techniciens de la banque.