Après vous avoir expliqué l’intérêt de posséder un logiciel de CRM, je vous ai montré la première partie d’un cahier des charges à créer pour mettre en place de type de logiciel. Je continue donc à dérouler le cahier des charges.
4. Objectifs et enjeux
4.1 Objectifs de l’entreprise
Ce paragraphe rappelle les objectifs stratégiques de l’entreprise à court, moyen et long terme ainsi que les contraintes induites par ces évolutions.
4.2 Evolutions souhaitées
Il s’agit ici de lister toutes les fonctionnalités requises par votre activité ainsi que les modules qui devront être développés pour satisfaire vos besoins. Cela peut concerner les langues d’utilisation pour une entreprise ayant des salariés multi-nationalités, des besoins en analyse particulier, des modules permettant de coller au mieux à l’organisation commerciale.
5. Les coûts et le budget
Un tel projet engendre des coûts à deux périodes distinctes : à la mise en place puis durant l’utilisation du logiciel.
5.1 Budget de mise en place
Le budget de mise en place inclus : le coût des licences, le matériel, les infrastructures et les ressources humaines (main-d’œuvre du technicien, formation…).
Il faut également réfléchir au mode d’utilisation du logiciel : acquisition pur et simple ou mode SAAS (location).
5.2 Les coûts de suivi
Les deux principaux coûts liés au suivi du projet sont la maintenance annuelle et les formations complémentaires.
6. La mise en place
Le prestataire doit s’engager sur un planning précis en précisant à chaque étape : le travail fourni, la partie fournissant les éléments (société acheteuse ou prestataire), la durée, le coût, les moyens mis en œuvre.
Le contrat prévoira également les pénalités de retard pour le prestataire en cas de non respect du planning annoncé.
7. Informations sur le prestataire
Cette partie a pour objectif d’obtenir un maximum d’informations sur le prestataire afin de s’assurer qu’il est en mesure de répondre de manière satisfaisante aux besoins exprimés.
C’est le moment de demander des données de chiffre d’affaires, de nombre de salariés, d’ancienneté, de références clients…