17 avril 2008
Puisque je suis une dure à cuire...
... et qu'on me tond pas le pilou si facilement :nanmaisho:, j'me suis pas démontée et j'ai rappelé mon école, demandant à causer à une autre madame que la chameaude. Gentiment, la petite standardiste me dit qu'il n'y a pas de problème et m'envoie du Vivaldi à fond la caisse dans le bigophone. Au bout de trois minutes d'attente je commence à me dire que puté j'ai peut-être tort de m'acharner parce qu'ils semblent vraiment se fiche royalement de leur monde. Pis là-dessus, une voix féminine me salue et je pars dans mon speech (anonyme, bah oui pas folle la guêpe, j'avais pas du tout envie qu'on me transfère chez la chameaude) de demande d'explication concernant la formation qu'ils proposent. Je lui demande si elle correspond aux critères en vigueur et là dessus elle me répond un "bah bien sur" qui sous-entend que ma question est trop trop débile. Je lui explique donc le pourquoi du comment j'ai l'air bête avec mes questions et naturellement après avoir donné le nom fatidique de la chameaude elle ponctue par un très joli: "AH! Bah oui cherchez pas alors!". Ça me sidère de constater qu'apparemment la chameaude fait suffisamment des siennes pour qu'une jolie petite réputation de fainéanteàl'ouest lui colle au train sans être inquiétée pour autant. Surement qu'elle s'occupe de ce qu'ils appellent la sélection naturelle d'où sa nécessité apparemment pas flagrante au sein du département...
Enfin, l'important étant que j'ai un nouveau rendez-vous avec la ptite dame que j'ai eu au téléphone parce que puté j'en veux mine de rien! Jusque là je ne me fais pas d'illusion histoire de ne pas me retrouver à nouveau six pieds sous terre, même si ma foi celle-ci me semblait être d'une toute autre trempe.
Suite dans les jours à venir, mais en attendant quelques photos de mes books.
Je me suis surendettée, j'ai tout bien calculé pour que chaque photo soit bien centrée, j'ai passée deux jours à coller les petits angles, à appuyer dessus comme une ouf avec mon coupe papier pour que ça soit du solide, je me suis grignotée la langue à force de concentration, et tatalheure en les rouvrant j'ai pu constater le passage une fois de plus dévastateur de la chameaude (oui ce sera la dernière fois que vous entendrez parler d'elle) qui m'a tout corné-déchiré mes entre-pages...
En tout cas, bonne fin de journée mes petits poulets! Pour ma part je crois que je va aller faire un saut à l'expo Louise Bourgeois. Boujoux!
Posté par Maroual à 18:04 - # Travaillâge - Commentaires [0] - Permalien [#]