En avril, Marche romane fête ses six ans d’existence, ce qui mérite bien quelques jours de pause. Il me semble d’ailleurs avoir tout dit et je risque finalement de me répéter. Quant au sens de tout ceci, il n'y en a pas, probablement.
Pas de panique. Il y a surtout que l'hiver fut long, très long et qu'en ces premiers beaux jours on préfère jardiner à l'extérieur plutôt que de rester penché sur son clavier. Quand la pluie reviendra, je reviendrai aussi, sans doute.