Ton con suave, ton con rose,
Sous une forêt de poils blonds,
Doux, frisés, parfumés et long,
A l’air d’une lèvre mi-close,
Lèvre excitant les appétits
De ma lèvre très curieuse,
D’où tant de baisers sont partis ...
Car ma chère, les imbéciles
Auront beau dire ; quand on a,
Sur la fille qu’on enconna,
Fait sonner ses couilles dociles,
A moins d’être bourgeois épais
Dont la nuque indécente arbore
Un de ces fameux toupets
Aux crins roses comme l’Aurore
Il faut quand le champ se va clore,
Déposer le baiser de la paix.