Mais dégage, dégage nuage, sors de mon paysage toi qui déjà a gâché mon samedi en déversant ton chagrin sur nos têtes, et voilé mon dimanche sous un halo de deuil.
Evapore-toi, disparaît, abandonne le jeu, tu as fait ton temps, soit beau joueur, cède ta place au soleil. Apprend à te faire désirer, supplier, implorer un petit répit, une averse aoûtienne rafraîchissante, un orage nocturne pour un peu de répit. Bientôt, très bientôt, mais en attendant va voir ailleurs, tu y es attendu …
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