Le Monde, bouleversé par le terrible séisme de 2010 en Haïti, qui a fait 230 000 morts et 1,5 million de sans-abris, a été pourtant d’une incompétence flagrante à aider ce pays à se relever et a donné lieu à un spectacle que Raoul Peck n’hésite pas à qualifier de « pornographique ».