Après le départ annoncé par Jérome Cahuzac himself sur BFM TV lors d'un show à verser une larme, j'ai suivi ça en direct chez le dentiste et c'était passionnant, les médias, débordés par les évènements de Boston, les larmes de Frigide Barjot et par la puissante analyse de politique internationale de fin de journée de Laurent Wauquiez, ont complètement occulté l'arrêt de la grande carrière politique de Véronique Genest entamée il y a 2 mois. On la savait mal en point depuis son crash pleine balle dans le mur du ridicule chez Ruquier mais je pensais qu'elle allait tout de même se relever après une bonne mise en coma artificielle pour réparer l'ensemble. En plus il faut reconnaître qu'à droite, ce n'est pas si difficile de faire une honnête petite carrière sans être prix Nobel puisque l'américain Frédéric Lefebvre y arrive.Frédéric Lefebvre que je remercie pour son salut à propos de l'action de Manuel Valls juste après l'attentat de Boston et son plan vigipirate renforcé violet foncé dans tout les aéroports américains.Revenons-en à Véronique Genest, ex-plus beau cul de la télévision française qui après des nuits de réflexion a annoncé cette surprise dans les médias:
"Je ne sais pas si la politique, c'est vraiment fait pour moi"
Vraiment, je regrette son départ, l'UMP perd une suppléante exceptionnelle du candidat Jonathan-Simon Sellem et une valeur sure de l'ordre moral de droite qu'elle partage avec la starlette du moment Frigide Barjot