Un bébé et on craque...

Publié le 16 avril 2013 par Mamanathome

 

Pour celles et ceux qui suivent le week-end dernier j'étais sur Paris, tout comme l'année dernière j'avais un bébé à rencontrer, mes amies n'arrêtent pas en ce moment . Du coup comme à chaque fois que je monte j'essaye de voir un maximum de personnes et tant pis pour la ville que je ne vois qu'à travers les métro et RER. On ne peut pas tout faire. Je m'installe toujours chez la même amie pour les nuits et soirées et en profite pour voir mon petit neveu, accessoirement ses parents aussi et parfois quelques copines blogueuses.

Bref je m'égare. Je suis donc allée sur Paris pour rencontrer Elise, la jolie petite poupée d'une très bonne amie à moi. Et quand je dis poupée c'est exactement ça, elle a une tête toute ronde, parfaite comme tout le reste, les petites oreilles bien ourlées et collées, les petits doigts fins, un nez minuscule et trognon. A craquer cette petite. Comme toujours, je n'ose pas demander à prendre le bébé dans mes bras, j'attends qu'on me propose, mais quand on a en face de nous des gens qui n'osent pas "imposer" leur enfant aux visiteurs ça peut durer des lustres.

J'ai donc profité d'un moment de fatigue des parents, ils se proposainet l'un l'autre de donner à manger à leur fille, pour m'engouffrer dans la brèche et offrir mes services. Et tout le monde était content. J'ai adoré l'avoir tout contre moi, sentir sa chaleur, sa bonne odeur de bébé et me plonger dans ses yeux pendant qu'elle tétait. Un bébé c'est craquant je dois bien l'avouer, surtout quand on sait que ce n'est pas à nous de gérer les pleurs, mais là c'était encore autre chose.

Il s'agit de fille d'une amie que j'aime vraiment beaucoup, alors j'étais aussi émue d'avoir sa fille dans mes bras, de me rendre compte qu'elle aussi est devenue maman à son tour. J'étais émue en la regardant avec sa fille, lui chantant une chanson pour la bercer, jouer avec elle, la poser délicatement dans son couffin, tous ces gestes que j'ai moi aussi fait et qui vont être les siens pendant de longues années. Je n'imagine même pas dans quel état je serai quand mes fils auront des enfants du coup...

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