Il paraîtrait...

lundi 15 avril 2013

- que le boulevard périphérique de Paris est une voie circulaire. Que certains parisiens s’étonnent de tourner en rond est surprenant. Que certains provinciaux affirment que les parisiens ne tournent pas rond est antinomique. Le périph, comme on le surnomme quand on le connait bien, et ceux qui le fréquentent le connaissent bien, on le quitte pas si facilement, est d'une longueur de 35,04 km. Et parfois ce sont les 40 derniers mètres les plus durs à parcourir. Il est indiqué par le sigle BP sur les panneaux de signalisation, qui pourrait signifier Bonne Pause, Bouchons Permanents ou Bourrins Patientez. Son ouverture complète a eu le 25 avril 73. Il a donc bientôt 40 ans. L’âge d’une certaine maturité ? L’âge où on a compris certaines de ses erreurs et qu’on ne les commet plus ? L’âge où l’expérience commence à faire science ? Pour le périph, où ça s’embouteille toujours autant, avoir pris de la bouteille, justement, ne semble pas l’avoir fait progresser. L’euthanasie est-elle une solution ? Peut-être. Mais peut-être très ou trop radicale. JDCJDR, je dis ça je dis rien, est la nouvelle signature des faux-cul qui font semblant de ne pas se mouiller tout en ramenant leur fraise. J’emprunte.
- qu’une étude menée sur un échantillon de 330 femmes par le professeur Jean-Denis Rouillon du CHU de Besançon soutient, utilisons ce verbe très approprié et de circonstance, que le soutien-gorge n'aurait aucune vertu en matière de maintien de la poitrine féminine. Ce serait même le contraire, médicalement, physiologiquement, anatomiquement, le sein ne tirerait pas bénéfice d'être privé de la pesanteur. Au contraire, il s'étiolerait avec le soutien-gorge. Personne ne voudrait remettre en doute la parole du médecin qui a passé des heures sur son laborieux travail mais quelques voix discordantes se font fait entendre, notamment précisant que l’étude avait été menée sur des femmes jeunes. Tant qu’à mesurer et observer des seins, on peut comprendre que le toubib ait préféré des patientes jeunes. Maintenant, lorsqu’on voit, seulement en reportage télévisuel me concernant, les seins de certaines femmes de tribus africaines qui ne portent pas de dentelles, on aurait tendance à se dire que la pesanteur agit, parfois, ou alors qu’il faut pousser plus loin les études pour trouver d’autres facteurs agissants ! JDCJDR, je dis ça je dis rien, est la nouvelle signature des faux-cul qui font semblant de ne pas se mouiller tout en ramenant leur fraise. J’emprunte.
- que des chercheurs de l’université de Nagoya ont produit une étude. Voyons voir. Ils ont montré que les coqs sont dotés d'une vraie horloge interne. Une radiographie leur a-t-elle suffi ? Les cuisiniers du monde entier avant de les mitonner au vin le savaient-ils déjà et ne nous l’avaient-ils pas révélé ? Soumis à des cycles jour-nuit de 12 heures, les coqs ont chanté deux heures environ avant la lumière. Réglés comme des coucous, donc. Les coqs seraient donc suisses ? Soumis à une lumière constante, ils ont continué de chanter à un moment correspondant à tôt le matin impliquant donc une horloge interne déterminante dans cette habitude matinale. Et donc voilà ? Oui, voilà. Et maintenant, qu’en faire qu’en dire qu’en retenir qu’en garder ? Que Nagoya est au Japon, que les coqs chantent dès potron-minet et que c’est dans leur nature, ça ne devrait guère changer la farce, j’ai bien dit la farce, du monde. JDCJDR, je dis ça je dis rien, est la nouvelle signature des faux-cul qui font semblant de ne pas se mouiller tout en ramenant leur fraise. J’emprunte.