Si vous êtes un altruiste fatigué d’être exploité – ou quelqu’un qui dirige des altruistes incapables de contrôler leur temps – écoutez. Quand les âmes altruistes font la différence entre générosité et timidité, et se préoccupent moins des sentiments des autres et plus de leurs motifs, ils évitent le surmenage – ou d’aider ceux qui ne veulent que s’aider.Présentation par Harvard Business Review d’un de ses articles : In the Company of Givers and Takers. Excellent conseil me semble-t-il…
Mais l’altruisme peut-il être calculateur ? Il l’est par la force des choses. Mon exemple. J’aide beaucoup. Mais arrive, toujours, le moment du bilan. Je suis épuisé, débordé, privé de vacances depuis des années, je ne fais rien de ce qui m’intéresse. Pourquoi ? Bénévolat à dose massive. Résultat ? Je n’ai pas les moyens d’aller au bout de ce dans quoi je me suis engagé. Je suis un altruiste irresponsable. Je pave l’enfer de bonnes intentions.
Pour que le coup de cœur soit efficace, il faut qu’il fasse intervenir, pas trop tard, la raison ?