Partir, s’enfuir, s’envoler, ne plus avoir d’horaires à respecter, de contingences familiales et domestiques. Etre libre d’aller et venir au grès de ses désirs et de ses envies, à la rencontres de lieux et d’êtres inconnus. Remiser son plan dans les profondeurs de son sac et abandonner son itinéraire à la décision de ses pas. Redécouvrir le goût de la liberté, se rappeler qu’elle est notre nature, une nature bridée bâillonnée enchaînée. Et la réapprivoiser, lui permettre d’éclore de s’épanouir à nouveau, respirer à pleins poumons et jouir de la vie et de l’instant. Parce que vous êtes en vacances, pour quelques heures encore, quelques heures volées à l’étouffant quotidien.
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