« Sur le blog qu’elle consacre à l’écrivain bordelais dont elle une spécialiste, Catherine Rabier, écrit que « ses personnages médiocres distillent chez le lecteur un sentiment très particulier, mélange de dégoût et de fascination, qui lui a sans doute valu cette carrière littéraire en demi-teinte. »
Sur Evene.fr, au sujet de Jean Forton et de son roman La vraie vie est ailleurs :