Difficile de ne pas sentir dans chaque pas la lourdeur de l'absence. Je suis comme ces navires, amarrés sur le sable. J'attends le retour de l'onde pour danser de nouveau. Même à sec, je reste pour toujours accroché à l'ancre, jetée aux profondeurs. Ni sur terre, ni en mer… Entre deux eaux. Pourtant je tire dessus, cette chaîne !