Chers(ères) Blogueurs(euses),
AH!
Enfin un sujet, certes vieillot, cependant, qui nous fait évader, pour quelques minutes, de ce monde où les paradis fiscaux tombent en lambeaux et un certain Ministre prône la transparence fiscale et joue le rôle d'homme de parole [Comme au cinéma, dingue!].
Bref, j’espère que vous avez aimer, le dernier chef d’œuvre de Quentin Tarantino!
Autant vous prévenir tout de suite, je ne suis pas une groupie de ce dernier. La violence dans les scènes de combat, c'est cool, mais faut pas déconner. Dans les deux cas, les giclées de sang et l’agressivité sont omniprésentes dans ses films.
Pour résumé, l'histoire se déroule dans le Sud des États-Unis, deux ans avant la Guerre de Sécession, un chasseur de prime du nom de King Schultz acquiert un esclave nommé Django. Durant le voyage, les deux hommes vont sympathiser et faire affaire : Django aide Schultz à descendre quelques crapules pilleurs de diligences. Et en contrepartie, Schultz aide Django qui fera tout pour retrouver sa douce femme, dont il fut séparé suite au commerce d'esclaves...
En vérité, j'ai adoré ce film, les personnages sont attachants, Dicaprio interprète son rôle à la perfection, et Samuel L Jackson est méconnaissable[de mon point de vue.] L’animosité regne, tel l’ingrédient maître; cependant Tarantino rend hommage au western spaghetti, pour finir, le film est une réussite totale.
Cela m'a encouragé, à savourer, d'autres films du réalisateur à succès. Hier soir, j'ai regardé Inglourious Basterds. Mis à part que Mélanie Laurent est fade, cependant Diane Kruger possède une classe folle, c'est incontestable et Chrisopher Waltz est absolument sadique et détestable comme le film l'exige!
Alors, quelles sont les nouvelles du celebre realisateur? Je suis impatiente de dévorer sa prochaine œuvre! Pourquoi pas un deuxième volet extraordinaire pour les Inglourious Basterds? En effet, Quentin Tarantino reste très discret en ce qui concerne ses futurs projets cinématographiques.
Le style Tarantino, je l'ai bien compris : créé un univers d'une violence extrême qu'il stylise et magnifie pour composer une esthétique sophistiquée.
Et ça me plaît.