Disco (2008)

 

Didier Graindorge, alias Travolta, a un souci. Ce looser au chômage ex-star locale du disco doit gagner un concours pour avoir le droit de revoir son fils et lui offrir des vacances en Australie.

Poussé par la fièvre du samedi soir au fond des bois, il réussit à convaincre ses ex-partenaires des Bee-Kings de tenter le concours. Tenace, Didier trouve un coach en or, la belle et désespérée France Navarre (si, si), qui sous les traits d’Emmanuelle Béart ne pose pas nue dans la mer des tropiques pour Elle mais pleure un fiancé noyé (quand elle n’exerce pas comme prof de danse au Havre).

Les deux autres lascars aident aux rebondissements de l’intrigue : Neu-Noeil (qui pleure que d’un oeil) bosse dur son propre concours en interne chez Darty et le beau Samuel Lebihan, docker sexy et syndicaliste, gère tant bien que mal une grève du port (rien de religieux).

Malgré un gros rateau amoureux infligé par France, Didier et sa fine équipe gagneront le concours. Neunoeil aura sa promo chez Darty.
On ne saura pas si Didier reverra France un jour malgré son exil imminent pour New-York.
On ne saura pas si Samuel Lebihan emballe façon disco la belle Cerise (allusion à la Maif?), copine de France.
On ne saura pas ce que foutait Francis Lalanne en futur-ex-parrain de la dernière compétition ni l’adresse du dermato de Danièle Gilbert.
 
Mais pour nourrir ta réflexion, fidèle lecteur, va faire un tour sur Allocine.

Choisis ton arme et flingue la fin du film

       
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